Faire de l’homme d’aujourd’hui…

Faire de l’homme d’aujourd’hui une double puissance physique de demain. C’est en évitant tout ce qui peut l’affaiblir et tout ce qui dévore sa puissance cellulaire et immunitaire que nous y parviendrons.

Vaste projet, n’est-ce pas ? Mais à la clef de ce projet, il y a la fin des cancers, des maladies virales, des grandes maladies cardiovasculaires et cérébrales.

La méthode utilisée n’a rien de médical. Quand un enfant court vers la rivière au risque de se noyer, on le rattrape avant qu’il ne l’atteigne. La méthode que je propose consiste simplement à éviter la détérioration de nos forces en redonnant à nos cellules un retour aux origines.

Le médical aura du mal à suivre mais finira par en être convaincu. Il est vrai qu’il n’y a pas pensé : c’est le leitmotiv de tous les médecins à qui j’en ai parlé.

Ma découverte remet en cause la jeunesse, la vieillesse et, entre deux, le temps de travail qui pourra être réduit à quelques heures par semaine. Le bien-être se développera en vivant plus longtemps en pleine forme.  La durée des retraites ne sera plus de 20 ans mais de 40 ans au minimum. « Travailler mieux, plus efficacement, mais beaucoup moins longtemps » est ma devise.

Oui, nous allons, de fait, vers un monde nouveau que tout le monde espère mais pour lequel personne ne donne la solution.

Les sportifs devraient le comprendre encore davantage parce que ce que je propose leur permettra d’atteindre de nouveaux sommets mondiaux.

Il faudra, de fait, un quart de siècle, c’est le temps qui sera nécessaire pour que le monde entier l’adopte.

La France pourra encore étonner par son bon sens et en suivant un chemin que personne n’a pris à ce jour.

Il faut faire confiance en la vie en la conservant longtemps, en pleine forme.

 

La mort des anticorps injectés

La mort des anticorps injectés, que l’on dit avoir trois mois de vie, est une voie royale pour les cancers de demain. Ces anticorps morts vont s’ajouter aux cellules que les variations extrêmes de pressions atmosphériques tuent déjà.

Ces intrus auront du mal à être dévorés par les macrophages. Est-ce la solution ? J’ai l’impression que l’on prend le problème à l’envers et que l’on ajoute un mal à un autre mal.

Le bon sens et l’évidence sont deux termes que ne connaissent pas les scientifiques et les politiques. Alors, on bricole. On bricole si bien que l’on réduit la durée de vie.

Certes, on aura empêché plusieurs personnes atteintes de mourir du COVID, mais au final, c’est toute la population vaccinée qui perdra en durée de vie. En fait, le médical, qui se dit glorieux, n’apporte aucune solution déterminante et définitive au cancer, ni au COVID.

Moi non plus je n’ai pas de solution  miracle mais j’ai une vraie solution :

  • Pour mettre fin au cancer
  • Pour en finir avec les virus.

Personne, à ce jour, ne conteste la solution que je propose. Étonnant, n’est-ce pas ? Car, même les scientifiques disent ne pas y avoir pensé.

Les solutions proposées par le Ministre de la Santé qui déclare lui-même qu’elles n’étaient pas bonnes (dixit Olivier Véran), n’apportent aucune nouvelle piste. Pourquoi ne pas essayer la solution du bon sens au lieu d’accepter de « vivre avec » et d’en prendre l’habitude ?

Bravo, Monsieur le Président, est-ce cela le grand changement pour le nouveau monde que vous préconisez ?

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