Pour un droit du travail ou un droit au travail ?

Et si l’on commençait par le début ? Tout ce qui réglemente ne facilite jamais ni le développement d’un produit, ni celui d’un concept. Le droit du travail est totalement nécessaire, faut-il qu’il respecte lui-même ce qui le motive et ne conduise pas à la suppression ou à la perte du travail lui-même.

Pour Michel Leclerc : “Dans ce domaine comme dans tant d’autres, il faut préserver la liberté pour exister.”

Se concentrer d’abord sur le droit au travail

Ne faut-il pas dans ce domaine juste assurer la prévention des abus contre chacun ? On peut comprendre la puissance syndicale de protéger et la volonté du gouvernement de réduire rapidement le code du travail mais dans les conditions actuelles, ne pourrait-on pas faire une exception, un armistice, pour le temps nécessaire à la relance avant tout du moteur économique, pour assurer d’abord un minimum de vie décente pour les millions de chômeurs et de pauvres en France qui ne peuvent plus attendre ?

La puissance syndicale ne pourrait-elle pas imposer d’accroître massivement le pouvoir d’achat qui n’écrira pas le droit du travail, mais donnera droit au travail ? On ne peut réglementer que ce qui existe pour le meilleur et non pour le pire.

La volonté du gouvernement de simplifier à l’extrême sur la volonté du MEDEF n’en oublie-t-elle pas l’essentiel qu’il est déjà nécessaire que nos entreprises puissent avoir des marchés et se développer ?

Pour une fois, ce que propose le plan TRES, de refinancement des cotisations sociales autrement qu’aujourdhui, c’est la paix des braves dans l’intérêt des salariés par le travail et le pouvoir d’achat, et du patronat, pour les commandes et la relance économique.

Ne serait-il pas possible avec l’appui massif des syndicats salariés et patronaux de préparer l’avenir de nos enfants ?

Y-aurait-il un seul problème dans le plan TRES qui ne puisse être accepté de tous ? C’est 33% de hausse du pouvoir d’achat pour les plus faibles et 23% pour les autres. Qui peut refuser ?

Une telle augmentation ne peut se refuser

Le redémarrage de la mécanique économique en dépend. Alors imposons le plan TRES pour que le droit du travail se transforme en droit au travail avec la puissance syndicale des salariés et le bon sens des patrons.

C’est en fait un nouveau Grenelle pour le plein-emploi qui est nécessaire. Après, on pourra parler du Code du travail !

Signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES.

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