Davos

Davos existe mais il n’est pas souhaitable qu’il devienne une gouvernance mondiale : ce serait à l’encontre de toute concurrence et de toute innovation, ce serait créer un nouveau monopole, plus dangereux que jamais.

Oui, Davos est dangereux puisqu’exclusivement économique avec des relents de spéculation.

Il est faux de croire que le monde serait meilleur avec une telle institution. Je pense, au contraire, qu’il faut l’interdire, comme au temps de la prohibition contre l’alcool et aujourd’hui contre la drogue.

La liberté est dans la possibilité de chacun d’avoir le droit de proposer, de créer, de décider. C’est la base de notre démocratie économique et politique.

Non, une vie heureuse ne doit pas être sous un monopole mondial qui interdirait toute initiative.

Davos, c’est l’argent-roi. Mais nous, nous voulons que le travail soit notre moyen d’anticipation d’une vie libre.

En revanche, il n’est pas un homme qui ne souhaite pas avoir une vie longue en pleine forme : c’est cela que nous devons défendre, une vie dans un nouveau monde où la santé sera reine, simplement en régulant les dérives de la nature et pas seulement celles de l’argent.

Davos est une institution qui n’a rien à voir avec notre vie : elle finira par la détruire si elle ne s’occupe pas de la santé des gens.

 

« Les règles, les lois » : Monsieur Attal

Monsieur le Premier Ministre, vous avez parlé de règles et de lois, votées ou éditées par les hommes et qu’il faut respecter pour faire régner l’ordre.

Mais vous, tout comme moi, Monsieur le Premier Ministre, nous ne respectons pas les règles des constantes de la vie. Elles nous condamnent à mort dans un temps extrêmement réduit.

Les constantes qui régissent notre vie et donc celles des personnes dont vous avez la charge, doivent être respectées à la lettre, bien au-delà des lois et des règlements votés par les hommes.

Aujourd’hui ces constantes ont des variations bien au-delà de ce que peut supporter notre corps. C’est le problème du trop froid, du trop chaud. Ce sont aussi les variations des pressions atmosphériques qui sont encore un oubli de la médecine.

Ce sont ces dérives qui dérèglent la totalité de notre vie et de tous nos organes. Ce sont ces variations qui tuent nos cellules par milliards et personne, à ce jour, n’a cherché à les réguler.

Je ne pense pas que ce soit une découverte de ma part mais celle du constat d’une évidence. Après avoir mis ce phénomène en évidence, j’ai créé Hygée le régulateur de pressions atmosphériques.

Vous, comme moi, nous savons pertinemment que, sans santé, il n’y a pas de bonne économie. Entre autres, ce que j’ai construit vous fera une économie de plus de 100 milliards sur la Sécurité Sociale, chaque année.

Nous éviterons ainsi les grandes maladies ainsi que tous les intrus que la nature nous impose. Nous pourrons avoir une vie plus longue et en pleine forme, Monsieur le Premier Ministre.

Au-delà des règles de la République, il importe plus encore de réguler les dérives d’une nature désinvolte. Tout ce que vous ferez sans cela, Monsieur le Premier Ministre, n’aboutira à pas à grand-chose.

C’est la régulation que je propose qui vous permettra de rétablir l’ordre et l’autorité. Quand on a confiance en son futur, les problèmes disparaissent.

Ce que je propose vous permettra, Monsieur le Premier Ministre, de compenser une natalité en chute libre.

Voilà un futur qui pourrait intéresser le jeune Premier Ministre que vous êtes, loin des tabous et désireux de donner à la France sa place dans le monde des lumières et dans l’économie.

 

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