Haro sur le baudet et les cotisations sociales

Concernant les cotisations sociales portant sur le travail en France, voici ce que l’on peut entendre :

« Je braie, je pleure : comment marcher plus vite avec tant et tant de charges ? »
« On me demande sans cesse d’aller plus vite tout en prenant les chemins tortueux de la mondialisation ».
« Enlever ma charge, j’irai jusqu’au sommet » nous dit le baudet.

Il en est de même de l’ouvrier : il travaille, et ceux qui le regardent le chargent de cotisations sociales de plus en plus. C’est plus facile de le regarder soulever toutes ces cotisations qu’il doit régler chaque mois que de faire le travail à sa place.

Une solution pour réduire les cotisations sociales

Ne serait-ce pas plus humain, plus économique, plus intelligent, de retirer cette charge et de la mettre dans le pot commun de l’Etat ? Tous les Français en profiteront.

Oui, l’Etat est là pour tous.

Dans notre pays, il y a ceux qui remplissent les caisses et ceux qui les vident. En fait, il y en a un pour les remplir et trois pour les vider. Et ceux-ci les vident plus vite qu’il ne le remplit.

Il faut y remédier. Le baudet en a assez, le travailleur en a assez.

Celui qui vide les caisses devra payer pour le mériter : c’est l’Etat qui doit être au service de tous.

On ne peut demander au baudet plus qu’il n’en peut fournir et pour que l’ouvrier puisse vivre correctement, il faut aussi lui donner un pouvoir d’achat.

Le baudet a aussi besoin d’une source pour boire et non d’un seau vide. Notre baudet et notre travailleur ne sont pas la bonne à tout faire.

Déchargeons le baudet et le travailleur, et toute l’économie revivra.

Rien ne sert de se mettre des œillères, la réalité rattrape toujours le bon sens.

Signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES.

cotisations sociales

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