Capter l’énergie des anticyclones

C’est peut-être possible mais à quel prix ? On se sert bien des pompes à chaleur. On se sert bien du vent pour faire tourner les éoliennes. On se sert bien des rayons du soleil pour les panneaux solaires.

L’immense force des variations de pressions atmosphériques pourrait peut-être être utilisée un jour mais à quel prix serait le KW ? Je crains que l’on ne se retrouve dans les mêmes conditions que pour les énergies renouvelables avec les mêmes problèmes que les éoliennes, que les panneaux solaires.

En fait, personne n’a cherché à ce jour à utiliser ces variations de pressions. Quand on sait que ces variations peuvent déformer le métal (celui qui est dans les baromètres), il y a peut-être une énergie nouvelle à capter. Il est  vrai que, là-encore, on se retrouve devant l’invisible et pour tout ce qui est invisible, il y a peu de chercheurs.

En ce qui me concerne, je pense qu’il faut arrêter déjà de faire peur à la population en ce qui concerne le nucléaire. Qu’on le veuille ou pas, le nucléaire sera utilisé un jour par tout un chacun pour fabriquer sa propre énergie.

L’Etat a fait une erreur en choisissant l’uranium comme combustible, dans le nucléaire. A l’époque, l’uranium servait surtout à faire du plutonium pour les bombes nucléaires. Il en fallait tellement pour équiper les ogives nucléaires.

Mais ce n’est plus le cas aujourd’hui. Aujourd’hui, une seule ogive peut détruire la moitié d’un pays. Quant à ce que l’on appelle les soucoupes volantes à propulsion nucléaire, elles pourront être envoyées à un endroit précis à quelques mètres près.

A ce jour, ce que nous proposons, c’est le thorium ou équivalent qui, contrairement à l’uranium présente des réserves possibles pour mille ans, quasiment sans déchets, sans risques, à un coût incomparable et dont la mini centrale peut être installée n’importe où.

Alors faut-il se lancer dans le captage des pressions atmosphériques ? Certes, elles sont inépuisables car elles se reconstituent sans arrêt.

L’uranium, c’est comme le pétrole, on dépend du pays producteur. Et l’énergie provenant éventuellement des pressions atmosphériques ne nous rendrait pas dépendants ; mais c’est tout une technologie qu’il reste à découvrir.

Dans tous les cas, il faut chercher  et utiliser une énergie qui conserve notre indépendance.

Je voulais également vous rappeler que cette énergie est si puissante qu’elle altère considérablement la vie des humains et c’est aussi la première chose dont il faut se protéger.

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