Il nous faut avoir une longueur d’avance pour être les plus forts.
On me dira : la solution c’est d‘avoir beaucoup d’argent. Oui, un avion rafale, c’est 80 millions, un canon Caesar, c’est 10 millions. Mettre un satellite en orbite, c’est de 3 à 5 millions.
Un régulateur de pressions atmosphériques, c’est entre 6 000 et 10 000 €. Un régulateur de flux magnétiques, c’est entre 2 000 et 5000 €.
Un Rafale a une durée de vie de 10 à 15 ans, un canon Caesar, c’est à peine 10 ans. Un satellite, c’est 20 ans. Toutes ces armes ont pour but de détruire l’adversaire.
Un régulateur des éléments de la nature, c’est pour faire vivre les hommes, c’est pour doubler leur durée de vie, c’est pour éviter au lieu de soigner, c’est permettre à l’homme de conserver toutes ses facultés physiques et intellectuelles. C’est mettre fin aux grandes maladies, à la souffrance,
Avoir une longueur d’avance, c’est éviter la guerre et maintenir la paix. C’est l’espérance d’une vie qui anticipe sur les conséquences d’une nature désordonnée. C’est aussi conserver une vie de travail, de bonheur et d’espérance pour tous.
Enfin, c’est redonner un nouvel éclairage à notre pays des Lumières.
Il est difficile de se battre contre la foudre
Pour combattre la foudre, la meilleure solution est encore le paratonnerre.
Nous vivons dans un monde déboussolé. Nous ne respectons plus rien. On n’anticipe plus ce qui nous détruit.
Nos gouvernements ne savent plus que faire. Notre bateau n’a plus de gouvernail.
Nos gouvernements sont obligés, pour exister, de se compromettre avec le diable en oubliant l’essentiel : la vie.
Combattre l’invisible paraît insensé et pourtant, cet invisible n’a aucune difficulté à nous détruire dès notre naissance.
On se croit invincible ! On oublie qu’on a souvent besoin d’un plus petit que soi. Si petits soient-il, nos capillaires sont les maîtres de la vie. Sans leur bon fonctionnement, c’est notre vie qui disparaît.
Alors, faisons en sorte d’éviter que ces capillaires se ferment sous la force des pressions atmosphériques.
Ce combat, je le mènerai jusqu’à son terme quelles qu’en soient les difficultés. Et, à présent, c’est ce qui me fait vivre.