Oui, aujourd’hui il y a plus de virus que d’humains sur la planète Terre. C’est un combat mondial qu’il faut mener.
En disant qu’il faut vivre avec, les virus ont compris qu’ils avaient gagné la bataille, ils ont pris l’avantage, ils ont revêtu leur armure de guerre. Ils entreront chez nous partout sans la moindre difficulté parce qu’on a signé l’armistice.
Et ce sont des Grimlins, ils viennent de partout, de toutes les nations, et comme la génération spontanée n’existe pas, on a constaté qu’ils naissaient et qu’ils vivaient au froid. Ils se multiplient par milliards en très peu de temps.
Aujourd’hui, on nous parle des virus sud-africain et brésilien, demain ce sera d’ailleurs. Dans chaque pays, ils ont une ramure différente. Alors, nos vaccins seront peu de chose contre ces invasions.
Alors, que faire face à une guerre mondiale ? Utiliser la diplomatie ? Ils ne la connaissent pas. Utiliser masques et distanciation ? Pourquoi pas. Utiliser couvre-feu et confinement ? Pourquoi pas. Mais aucun de ces dispositifs ne permettra de tuer le virus. On est toujours dans la défensive. On en revient toujours à la même conclusion.
On a un avantage, on sait où le virus se développe, comme pour les moustiques.
Les moustiques se développent au chaud, dans des eaux stagnantes. Les virus vivent au froid et se développent au froid, entre 2 et 10°. Et, comme par hasard, nous savons où existent ces températures, hiver comme été. Ce serait intelligent de mener le combat dans leurs nids.
Nous avons la chance que la nature nous offre le soleil pendant l’été, la décomposition de la lumière en hiver par les ultraviolets. Utilisons donc les moyens qui nous sont offerts sur un plateau pour mettre fin à la pandémie mondiale car le soleil est partout et la lumière est partout. Il n’y a pas un seul médicament au monde qui soit aussi puissant que la lumière et la chaleur du soleil.
De plus, rappelons-nous que lorsqu’il y a eu l’épidémie de la peste où l’on ramassait les morts dans les rues, il a fallu faire une désinfection générale avec des produits suffisamment forts pour dissoudre les armures des virus. Et nous avons tout cela : qu’attend-on ?
Est-ce que la raison l’emportera ? Pas si sûr.