Aller au travail avec plaisir

Est-ce un rêve que d’aller au travail avec plaisir ? Qui peut l’affirmer aujourd’hui ? Je prends moi-même ce risque d’affirmer que la fatigue que l’on ressent souvent ne provient pas que du travail mais surtout de la pression atmosphérique.

Il ne suffit pas de siffler pour alléger la fatigue des corps au travail
(illustration extraite de Blanche Neige et les sept nains)

Le plaisir au travail

Ainsi, travailler en profondeur sous l’eau est dix fois plus fatigant qu’en surface. Mais sans arriver à ces extrêmes, chaque fois que l’on bouge une jambe ou un bras, ce n’est pas le même effort selon les pressions extérieures. La fatigue est bien supérieure quand la pression est à 1040 millibars qu’à 985.

Qui dit moins de fatigue apporte nécessairement davantage de productivité. En un mot, il faudra moins de temps pour produire un objet ou accomplir une tâche, en basses pressions qu’en hautes pressions.

Autrement dit, en régulant la pression atmosphérique, on se fatigue moins et l’on produit plus. La régulation que l’on trouve évidente pour les avions (on y ajoute de la pression) et les sous-marins (on y réduit la pression) devrait se faire de la même manière quand il y a de trop grandes variations anticycloniques.

Certes, j’explique des constats avec des mots simples peut-être, mais pourriez-vous me dire le contraire ?

Toutefois, ce n’est pas au moment où l’on est malade et que les tumeurs se développent qu’il faudra se mettre à l’abri de cette pression, ce sera trop tard. C’est dès la naissance qu’il faut réguler la pression atmosphérique et il n’est pas exclu d’ailleurs que la mort subite du nourrisson soit aussi causée par ce manque de régulation.

Pourquoi tant d’acharnement de ma part pour parvenir à ce résultat ? J’ai constaté que les morts par cancers sont de plus en plus nombreuses et que les souffrances qui y sont liées, sont terribles. Cela vaut peut-être la peine que les scientifiques de tout bord, les politiques de tout bord, prennent en compte ce qui a été oublié.

Les médicaments serviront toujours à ceux qui sont déjà atteints mais nous sommes tous potentiellement atteints et le risque est toujours aussi grand. Ce que je propose, ce n’est pas de soigner mais d’empêcher la maladie de se développer.

Quelle prétention ! Peut-être, mais les faits sont là et il importe d’y réagir.

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