Non, ce n’est pas notre système de santé qui est en péril mais c’est notre santé qui est en péril, faute de s’attaquer aux causes. Jusqu’à ce jour, nous avons voulu soigner au lieu d’éviter.
Les causes sont cumulées dans la nature qu’il nous faut réguler par des moyens techniques.
Ce n’est pas à 80 ans qu’il faut s’en inquiéter, mais dès la naissance. Eviter coûte 100 fois moins que de soigner avec des médicaments qui ne sont pas toujours efficaces.
Vivre des années sans veiller au développement des cancers et autres maladies, c’est lancer un défi à la nature assassine.
Travailler, se fatiguer, être malade, et subir parfois des maladies qui vous emportent, n’est pas raisonnable. Et il n’est pas normal d’en faire payer le coût à la société tout entière.
La puissance de la nature n’a rien de comparable en ce monde. Et pourtant, il faut le pallier par l’évidence.
Il ne faut pas mettre en cause le système de santé qui est un puits sans fond. Il faut simplement réguler nos constantes qui sont les piliers de notre vie.
Et nous assisterons alors à la fonte des neiges de tous les coûts totalement inutiles qui nous sont imposés. Nous verrons disparaître nos déficits et nous vivrons dans un autre monde en pleine forme et beaucoup plus longtemps.
Le cancer, ce crabe dormeur
Le cancer n’est pas une maladie. Il est en nous dès la naissance et il se développera plus ou moins rapidement selon que l’on s’y attaquera ou pas.
Aujourd’hui, on détecte 100 000 cas nouveaux de cancers de la peau tous les ans, en France, et 300 000 autres cancers sur différents organes de notre corps.
Ces cancers vont nous rendre la vie impossible si l’on ne s’attache pas à réguler les constantes de la vie qui nous sont imposées.
Alors, que peut-on faire contre cette nature qui ne nous aime pas ?
Les rapports des Docteurs Schwartz et Duranteau m’ont permis de trouver la source de tous ces cancers.00
Et ce n’est qu’un petit grain de sable qui nous empêche de vivre. Ce sont nos capillaires, si petits soient-ils qui, sous l’étau de la nature, auront leur circulation obstruée ainsi que l’alimentation des cellules en oxygène. Et c’est au bout de 24 heures que les réserves de ces cellules seront épuisées. Elles mourront et ce sera le début du cancer.
Cette nature insolente peut être régulée, soit en nous protégeant simplement, soit en utilisant un dispositif technique.
D’autre part, c’est parfois tout simplement, en évitant d’être plus de quelques minutes sous les radiations du soleil que l’on peut se protéger.
Autrement dit, nous pouvons éviter sans difficulté d’aider le cancer à se développer. Un tout petit peu de bon sens pour gagner 100 ans de vie en plus et en pleine forme.
Non, le cancer n’est pas une maladie, c’est simplement un crabe dormeur qui se réveille. Il ne faut jamais mettre notre doigt dans les pinces du crabe…
En fait, vivre ne dépend que ne nous, que de notre bon sens et je dirai même, de l’évidence.
S’il ne s’agissait que de nous, on pourrait dire, c’est votre faute, mais, en fait, c’est toute la société que nous empoisonnons par le coût que nous lui faisons payer.
Être en pleine forme, c’est aussi combler tous les déficits qui existent mais c’est aussi être heureux de vivre, heureux d’avoir un futur, heureux d’avoir gagné la bataille face à la nature.

