Et si nos maladies n’étaient qu’un dérèglement ?

Cancer, Alzheimer, diabète… et si ces maux n’étaient pas des fatalités, mais la conséquence des variations de nos constantes vitales ?

En réalité, elles seraient la conséquence d’un dérèglement naturel, lié aux variations des pressions atmosphériques.

Tout part d’un même problème technique : le blocage de la circulation sanguine dans les nano-vaisseaux — ces minuscules canaux qui assurent l’oxygénation des cellules.
Il suffit d’une variation de pression de quelques grammes pour fermer ces vaisseaux fragiles. Privées d’oxygène, les cellules meurent en moins de 24 heures.

La pression de référence pour l’homme est de 1013 millibars au niveau de la mer, mais ce seuil varie selon l’altitude : elle baisse d’1 hPa tous les 10 mètres.
Le vrai danger ne vient pas de la pression de base, mais des variations brutales : hautes pressions (anticyclones) et basses pressions (cyclones).

Ainsi, ce que nous appelons « maladies » ne sont en réalité que la conséquence technique de ces fluctuations atmosphériques sur notre organisme.

Quand on a tout, on en veut encore plus

L’exemple de la Russie illustre une autre forme de dérèglement.
Prigojine est mort ; Poutine le sera demain. Malgré un territoire immense et riche, la Russie veut encore plus, au mépris de ses voisins. Pourquoi ? Parce qu’elle manque de capacité à produire, inventer et innover.

Plutôt que d’apporter prospérité à son peuple, Poutine cherche à s’approprier le savoir des autres. Mais l’Occident, de son côté, n’est pas exemplaire non plus : il s’enfonce dans un désastre sanitaire, préférant soigner plutôt que traiter les causes.

Et si la France reprenait enfin son rôle de Pays des Lumières, en appliquant l’évidence : s’attaquer aux causes véritables de nos maux, en régulant les constantes vitales ?

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.