C’est dès la naissance qu’il faut décider de conserver la totalité de ses facultés et de sa défense immunitaire. Conserver sa jeunesse pendant 150 ans et plus, en maintenant nos constantes au niveau initial.
L’homme naît sur terre dans un environnement qui le détruit. Dieu, le tout puissant, lui a donné l’intelligence pour conserver et réguler la folie de la nature.
On arrive au monde tel un prisonnier dans sa cellule qui sort dans la cour pour éviter de devenir fou. On arrive sur terre et on est prisonnier de son environnement qui va tout faire pour écourter notre vie.
Dieu a fait l’homme libre, celui-ci se doit de quitter sa cage, fut-elle dorée. Devra-t-il, pour ce faire, scier, l’un après l’autre, les barreaux de la cage en régulant les dérives des constantes de sa vie ?
Ce n’est pas le médical qui soigne mais la technique qui évite d’avoir à soigner.
Oui, il faut éviter tout ce qui peut nous affaiblir, jour après jour.
Rester libre, c’est mener la guerre envers les dérives de la nature avec une seule arme : l’évidence que beaucoup d’entre nous met en doute.
Mais le doute est la porte de l’évidence…
Vieux prétentieux
C’est possible que je sois prétentieux. Si cela est nécessaire pour apporter des solutions à notre vie, alors, oui, je suis prétentieux.
Je n’aurai pas la nécessité d’inventer mais la joie de réaliser ce à quoi le médical n’est pas parvenu : de vivre longtemps et en pleine forme.
Les économistes cherchent des solutions pour éviter que les agences de notation ne les dégradent. La solution que j’apporte n’est pas un miracle mais il fallait seulement y penser et le réaliser.
Oui, j’y ai pensé et j’ai réalisé.
Cela m’a coûté très cher. Une seule banque y a participé. C’est ONEY BANK.
Oui, j’y vais tout doucement. L’usine qui s’en occupe est parvenue, avec mon prototype, à lancer les premières séries.
Je me rappelle tout de même le temps où mon frère Edouard a commencé dans le grenier d’une écurie, puis après, dans sa chambre, pour stocker les produits nécessaires au premier Centre Leclerc.
Je me souviens aussi des immenses fûts d’huile qui arrivaient de Marseille et qu’il fallait mettre en bouteille. Oui, on n’y arrive pas sans mal.
Puis-je espérer qu’après avoir cassé trois monopoles, j’arrive à mettre fin au « je ne sais pas » du monde médical ?
Je parviendrai à donner aux Français le libre choix de leur vie, de leur santé.
Il est vrai que c’est avec peu de choses que je suis parvenu aujourd’hui à ce résultat par rapport aux milliards dépensés par les services de recherche.
C’est avec ce peu de choses, ce peu d’argent, que je permettrai à la France d’économiser 350 milliards par an de frais médicaux et de fournir plus de 500 milliards de production supplémentaire.
Produire plus, mieux, plus longtemps et en pleine forme, c’est peut-être prétentieux mais c’est ma solution.