439 ans avant Jésus Christ

Alors que la peste sévissait à Athènes et entraînait la mort de milliers
d’Athéniens, Hippocrate demanda de faire de grands feux dans la ville et
pendant plusieurs jours afin d’apurer l’air : et la peste disparut.
Quand je demande d’utiliser des murs de feux, petits ou grands, pour brûler les
virus et bactéries, je ne suis pas loin de la vérité : et le COVID et la grippe
disparaîtront.
Oui, aujourd’hui, pour éradiquer le virus, c’est d’abord d’utiliser vos petits
radiateurs avec ventilateur, chacun chez soi, et des radiateurs plus puissants
dans les grandes salles, dans les ateliers. Mais aussi faire passer des véhicules
au travers des rues avec d’énormes résistances électriques rougies. Il est
important que l’on projette l’air qui contient les virus sur les résistances à 800
degrés, pour les brûler. Ce sera dix fois plus efficace que tous les vaccins du
monde.
De toute manière, à ce jour, on n’a pas trouvé de solution pour détruire les
causes. Est-ce qu’on l’a voulu ou que l’on ne l’a pas voulu ?
Hippocrate affirmait que c’est par le bon sens et par le constat qu’on pouvait
s’attaquer aux épidémies.
Je dirai simplement qu’après 2 460 ans de médecine, on n’a pas trouvé mieux.
La médecine s’est approprié la notoriété d’Hippocrate mais elle n’a pas
appliqué son concept.
Hippocrate avait bien compris qu’il valait mieux éradiquer la cause que de la
soigner. Hippocrate avait compris que le résultat était la seule solution.
Aujourd’hui, tous les deux ou trois mois, il nous faut rajouter des anticorps
pour combattre un virus qu’on n’a pas voulu éradiquer.
Hippocrate était un grand médecin : on l’a cru mais on l’a oublié et on a oublié
d’appliquer sa théorie. En fait, on a transformé la médecine en un fonds de
commerce destructeur de la vie, ce qui est l’inverse de ce que proposait
Hippocrate.

Pompes funèbres – n°07 – 02122022 – Parution le 9 décembre 2022
On se garde bien de nous dire aujourd’hui ce que deviennent les anticorps
qu’on nous injecte : où vont-ils, que font-ils ?
Ce que je propose, depuis trois ans maintenant, c’est d’éradiquer le virus par le
feu ou équivalent, et non d’en soigner les effets, si ce n’est par défaut. La
répétition, année après année, doit nous inciter tout de même à appliquer les
solutions que je propose : plus de virus, plus de conséquences.
Ce que je propose, c’est exactement ce qu’avait demandé Hippocrate et qui a
été appliqué à Athènes. Je ne fais, en fait, que du plagiat adapté au monde
d’aujourd’hui et ce, sans le vouloir.
Que le monde médical me pardonne : seul, le résultat compte.

Virus et cancers : de l’or en barre

Est-on certain de vouloir les éradiquer ou plutôt de les entretenir pour que la
mine d’or ne se tarisse pas ?
On parle de consolider le système immunitaire par des anticorps, qui n’ont rien
d’un vaccin d’ailleurs mais qui rapportent gros.
Et si on s’attachait à éviter de perdre 1% de notre système immunitaire chaque
année, toutes ces maladies n’auraient plus de prise dans notre corps. Je suis sûr
qu’Hippocrate applaudirait des deux mains avec force, avec évidence et après
constat.
Nous sommes entrés dans l’habitude d’un système sans fin et on l’a consolidé,
année après année. Mais où va la médecine ? Et ce sont nous, les Français, qui
payons la note pour enrichir les laboratoires et le monde médical.
Il est vrai que moi, je ne parle pas de médecine mais de techniques mécaniques
pour éviter d’avoir à utiliser la médecine.
Moi, je veux bien qu’on augmente le prix des consultations médicales mais le
fait que les médecins demandent de faire passer le prix de la consultation de 25
à 50€ me paraît insensé. Mais, c’est bien dans l’esprit qui régit aujourd’hui la
médecine ou le monde médical.

Pompes funèbres – n°07 – 02122022 – Parution le 9 décembre 2022
Le tour de force du monde médical c’est de faire admettre qu’il est le magicien
de la vie. Malheureusement, les médecins sont plus souvent les prescripteurs
de médicaments qui souvent détruisent se contrarient l’un l’autre.
C’est criminel de nous dire aujourd’hui qu’il y a moins de morts par COVID
qu’hier. Mais va-t-on se contenter d’avoir 250 à 500 morts par jour et
s’entendre dire : taisez-vous et soyez heureux de votre sort ? Et il en est de
même pour les cancers.
Que ce soit pour les virus ou pour les cancers, il y a des solutions qu’Hippocrate
ne pourrait qu’approuver. Le « je ne sais pas »  est le maître mot de la
médecine. Quelle insolence, quelle trahison, vis-à-vis du serment d’Hippocrate.
Aujourd’hui, il n’y a plus que le fonds de commerce qui compte. D’ailleurs,
force est de constater que le médecin ne se déplace plus, qu’il faut aller
acheter une ordonnance chez lui comme on irait à la boutique du coin.
Non, vous avez assez et trop profité de la notoriété d’un grand homme qu’était
Hippocrate. Montrez-vous digne de cet homme au lieu de nous infliger une
véritable escroquerie doublée d’une répétition perpétuelle.
Faudra-t-il, comme dans les pompes funèbres, mettre fin à ce monopole ? Le
monopole de la médecine telle qu’elle est conçue aujourd’hui est un crime
contre l’humanité.

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