L’oiseau toxique qui plane au-dessus de nos têtes

Appelons-le l’oiseau toxique ce rapace migrateur qui vole de pays en pays tout autour de la Terre et parfois s’arrête sur un pays plus qu’un autre. Pourquoi ? Nous ne le savons pas. Mais l’on s’est aperçu que, quand il est couplé avec un grand froid ou une grande chaleur telle la canicule, il provoque une surmortalité extrêmement importante par sa toxicité.

Finira-t-on comme l’oiseau…

Tant que ce rapace voyageur n’est pas trop puissant, c’est-à-dire au-dessous de 1020 millibars, il n’y a aucun risque de surmortalité. En revanche, qu’il fasse très chaud ou très fois, il vient s’ajouter à ces extrêmes avec sa toxicité et emporte avec lui de nombreuses âmes.

En fait, la pression atmosphérique que représente ce rapace vient étouffer l’être humain. Il n’est pas toujours mortel, mais il entraîne de toute manière une fatigue pour tous. Il tue l’être par étouffement au-delà de 1035 millibars.

Le très chaud ou le très froid ne sont pas les facteurs de catastrophes humanitaires. Ils peuvent être un facteur aggravant, mais seuls, ils ne tuent pas.

Il est rare que ce couplage se fasse aussi violent mais nous l’avons déjà vu tant en août 2003 qu’en hiver. En très haute pression, le ciel est toujours dégagé et provoque en été la canicule et en hiver le grand froid et c’est ce rapace migrateur très mobile qui est le vecteur principal de ce couplage dévastateur.

Toutes les protections prises à ce jour, lors des canicules ou lors des grands froids, sont bonnes mais inefficaces quand le grand rapace est présent à très hautes pressions. Il va donc falloir beaucoup de génie, beaucoup de compréhension, beaucoup d’innovations pour qu’on se protège de lui.

Certes, on ne l’empêchera pas de migrer, c’est impossible, mais on pourra concevoir des moyens et des techniques qui permettront de s’en protéger. Certes, il y a les moyens naturels : monter en altitude ou se mettre sous terre, à l’abri de ces pressions, mais l’on peut aussi se mettre dans une salle ou dans sa chambre que l’on aura conçue pour limiter les pressions atmosphériques, tel un caisson isobare.

Non, cela n’empêchera pas de travailler car il suffit d’être quelques heures dans ces conditions pour que le corps reprenne sa force et ne soit pas étouffé. Ce n’est d’ailleurs pas la respiration qui cause problème mais la circulation sanguine dans les vaisseaux qui sont compressés de la même manière que, quand il y a une hémorragie, on appuie pour éviter le saignement. Mais ce cas précis de hautes pressions, c’est une pression qui englobe la totalité du corps et bloque la circulation dans les petits vaisseaux.

Je ne sais pas si c’est le Ministère de l’industrie ou celui de la Santé qui devra agir pour produire et installer ces dispositifs. Il faut maintenir, si possible, la pression sur le corps à 1013 millibars. Moins de fatigue, moins de morts. On ne pourra plus dire qu’on ne savait pas.

Ce processus permettra de vivre mieux mais aussi de produire plus, en moins de temps. Il faut donc concevoir également tout l’intérêt économique de ce dispositif qui pourra être installé dans les usines, les bureaux comme chez soi.

Non, Messieurs, ce n’est pas une folie. Vous n’arrêterez pas les anticyclones pas plus qu’on n’arrête pas le soleil. N’est-ce donc pas également écologique en ce sens que ce problème est lié aussi à la nature ? On ne peut le combattre mais on peut prendre les dispositions nécessaires.

Gémir ne sert à rien, agir est constructif.

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