L’énergie : une affaire d’état, celle d’Areva

Aujourd’hui, nos réacteurs nucléaires sont tous des réacteurs à base d’uranium et à eau pressurisée pour le refroidissement. Demain, seuls les réacteurs nucléaires à base de thorium et à sel fondu auront un avenir sur notre planète.

Fini le danger nucléaire, fini les accidents nucléaires tels que Tchernobyl ou Fukushima. Fini notre dépendance avec l’uranium, le thorium existant partout dans le monde.

Fini les réactions en chaîne très dangereuses. Fini les combats des anti-nucléaires. Et enfin, on préservera notre avantage économique, le thorium étant beaucoup moins cher et dont il existe des réserves pour mille ans.

Et il existe un autre avantage quasi révolutionnaire : le réacteur au thorium peut être miniaturisé. Il pourra être utilisé par l’aviation, par les camions, et demain par les voitures qui, avec 18 gr de thorium, pourront parcourir 100 km.

Mais beaucoup plus encore : nos fusées spatiales seront équipées de tels réacteurs et avec moins de 10 kilos de thorium, on fera plusieurs fois l’aller-retour sur la planète Mars.

Plus rien ne limitera la vitesse dans l’espace bien sûr, vitesse qui pourra tôt ou tard atteindre la vitesse de la lumière c’est-à-dire 300 000 km/seconde. Ceci nous permettra d’entrevoir un jour la visite de nouvelles galaxies, probablement d’ici une cinquantaine d’années.

Fini les carburants fossiles qui polluent l’air dans lequel nous vivons.

Ces réacteurs, sans risques, sans déchets, pourront aussi être utilisés en Afrique pour fournir l’énergie qui permettra de mettre en culture une partie des déserts.

Et progressivement, ils remplaceront nos centrales actuelles sans risque.

C’est une affaire d’Etat, c’est une volonté politique, c’est l’enjeu de la société Areva.

Quand on voit le mal que se donne l’Etat pour améliorer les conditions de la SNCF, il faudra un petit génie qui aura l’appui du peuple pour qu’AREVA comprenne qu’il faut tourner la page.

Rappelons seulement que l’uranium a été préféré uniquement pour construire la bombe nucléaire. C’était en 1942. On a déjà, à l’époque, c’est-à-dire en 1946 et 1947 prévu des centrales basées sur le thorium, des centrales qui ont fonctionné mais que la politique de l’époque a exclues uniquement pour pouvoir fabriquer du plutonium avec sa réaction en chaîne pour la bombe nucléaire.

Ce n’est plus le cas aujourd’hui. On possède des réserves suffisantes de plutonium pour faire exploser des planètes entières.

L’utilisation du thorium est avant tout une décision politique. Mais, attention ! d’autres pays sont déjà prêts à l’utiliser telle que la Chine.

Deviendra-t-on tributaires de ces pays ?

AREVA perd de l’argent aujourd’hui puisque ses réacteurs sont des monstres qui coûtent des fortunes pour les protéger. L’utilisation du thorium permettra l’existence de petites centrales sans risques, sans déchets, dans tous les pays du monde et d’abord en France.

Le thorium ne constitue plus un problème technique, c’est une avancée technique et écologique. Mais je crains que les lobbies ne soient super puissants.

Il faut donc un Président très imaginatif dans une France forte avec un pouvoir d’achat fort pour oser prendre la décision envers et contre tous.

Michel Leclerc : “Voilà, Monsieur le Président, l’affaire d’Etat la plus importante certainement de votre quinquennat. Il faudra trancher dans l’intérêt des Français.

La continuité de l’utilisation nucléaire par le thorium pour notre énergie c’est aussi près de 10% d’économie sur l’énergie nécessaire à notre industrie, notre chauffage et plus généralement dans l’intérêt de l’humanité.

Merci, par avance, Monsieur le Président, de la part de tous les Français et plus encore de l’humanité entière.”

thorium

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