Le coronavirus, la grippe, les virus et l’air

Pour comprendre l’action du coronavirus, de la grippe et des virus en général, avant toute chose, rappelons-nous un cours de physique sur la composition de l’air. L’air ambiant est composé à 79% d’azote et à 19,5% d’oxygène. C’est le cas général.

Ce que l’on a très peu appris, en revanche, c’est que la composition moléculaire de l’oxygène de l’air change avec la chaleur. On verra que les molécules partent du bas vers le haut et stagnent vers le haut. C’est ainsi qu’en hiver, nous n’inspirons pas la même composition d’air qu’en été et que l’on respire mieux.

Il s’agit d’un phénomène physique naturel. Les virus ont horreur de l’oxygène et, selon le climat, il va se développer ou rester une cellule dormante. Ce sont, en effet, les conditions climatiques qui provoquent leur réveil mais aussi leur mise en sommeil. Après, l’aspect contagieux et dangereux peut provenir d’un pays ou d’un autre – selon le climat de ce pays – et sa position en latitude.

L’article de Libération est conforme à nos propos.

carte de l’organisation mondiale de la santé (OMS)

Le coronavirus disparaîtra avec les rayons du soleil

C’est ainsi que les virus tel que le coronavirus disparaîtra en France dès que les rayons du soleil réchaufferont l’atmosphère et donc modifieront la composition moléculaire de l‘air.

Dans tous ces cas, nous retrouvons un problème d’oxygène et c’est l’oxygène que nous respirons qui développe notre système immunitaire ou, tout au moins, le protège.

C’est pourquoi les virus sont plus actifs sur certaines personnes que sur d’autres et spécialement, il est proportionnel à l’âge et plus spécialement au niveau d’immunité de la personne qui le recevra.

Il faut aussi connaître que, comme dans tous les éléments naturels, l’oxygène a sa possibilité naturelle aux alentours de 20 degrés. En revanche, dès que la température monte, son action suit une courbe exponentielle et, à 40%, il devient très actif. De plus, dès qu’il descend à zéro degré, voir en-dessous il suit aussi une courbe exponentielle négative. Autrement dit, quand il fait très froid, les virus sont inactifs.

Ce phénomène explique l’activité des virus qui, en fait, sont permanents mais ne s’éveillent qu’à un moment donné. C’est ainsi qu’au pôle Nord et au pôle Sud, on ne les voit pas souvent apparaître.

D’autre part, l’oxygène peut aussi, en plein été, à forte température mais aussi à forte pression, provoquer un cocktail détonant extrêmement dangereux. Comme toute chose, quand on sort des rives des variations, que ce soit pour l’oxygène ou pour les pressions atmosphériques, on est en situation de danger. Ces situations de danger peuvent d’ailleurs conduire à des hécatombes brutales.

Si le cancer se produit lentement au cours des années, nous avons dit et reconnu que la cause était la pression atmosphérique qui interrompt la circulation sanguine dans les micro-vaisseaux. En revanche, un virus quel qu’il soit, s’il arrive face à un système immunitaire défaillant, peut infecter et conduire à la mort. C’est pourquoi on constate les décès relatifs au coronavirus à 90% sur des personnes âgées qui ont vu leur système immunitaire se détruire au cours des années.

Le virus peut proliférer rapidement dans un microclimat et le réchauffement climatique peut être le facilitateur de son réveil. Indiscutablement, le réchauffement climatique peut occasionner le réveil de plusieurs virus. Et ces derniers peuvent se développer d’une manière insidieuse, sans conséquences, mais très dangereuses.

C’est ainsi que les enfants qui sont dotés, dès la naissance, d‘un puissant système immunitaire peuvent être protégés des virus mais les transmettre en tant que porteurs sains.

Nous avons dit que le virus a horreur de l’oxygène qui, à haute température, le brûle à son contact. C’est de la composition de l’air, à un moment donné, qu’il faut se protéger. Et, comme pour le cancer, il faut se protéger des variations des pressions atmosphériques, il faut spécialement, en hiver, compenser le manque d’action de l’oxygène dans l’air que nous respirons.

Il va de soi que, quand le virus est dangereux et infecte rapidement les poumons, il importe, le plus vite possible, d’appliquer le protocole du Dr Schwartz composé de Bleu de Méthylène, d’acide lipoïdique et plus encore afin de stopper l’infection du virus. C’est déjà le cas quand le cancer s’infecte. L’éminent Dr Schwartz est parvenu à stopper son développement ou plus exactement son infection et parfois à neutraliser la fermentation dans le nodule des cellules mortes.

Mais, dans les deux cas, le protocole ne supprime pas la cause car la cause provient, à un moment donné, dans un climat donné, et suite aux variations de composition de l’oxygène qui permettent le réveil du virus qui ensuite peut être transmis, soit par des animaux, soit par des insectes.

C’est pourquoi ma découverte pour le cancer est d’éviter qu’il ne se développe. Il faut donc créer, pour les virus, les conditions qui empêcheront le virus de se développer et il n’est pas impossible qu’il faille nous faire respirer de l’oxygène réchauffé afin qu’il devienne plus actif dans notre système immunitaire.

Je voudrais profiter de l’occasion pour affirmer les dangers du réchauffement climatique. Dans tous les cas, il faudra faire le nécessaire si l’on veut sauver l’humanité.

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