Cet été, l’Etat s’est contenté de ne rien faire

La situation actuelle de la COVID-19 est le fait de l’inaction, de l’incompétence, du refus de l’évidence du constat des constats.

L’Etat français, c’est-à-dire nous, nous sommes devenus des criminels pour avoir laissé faire, par l’indolence, par l’habitude et par la peur qui nous a retiré toute possibilité d’action et de réflexion. Ce n’est pas faute d’avoir prévenu et d’avoir demandé ce qui aujourd’hui est en train de se faire mais, comme toujours, avec trois ou quatre mois de retard.

Peuple de France, accepte le combat. Allons au-devant de l’occupant. C’est à nous de détruire ce virus. N’attendons rien de ceux qui auraient dû savoir et qui continuent à exprimer le « je ne sais pas ».

Nous avions une image extraordinaire de la médecine et tout s’est écroulé.

Il faut tout de même être précis et conscient du fait que ce soit nous, Français, qui payons les études de médecine. C’est toujours ceux à qui on a le plus donné que l’on retrouve sur sa route et contre soi.

On a écouté la voix qui engendrait la peur et qui annonçait l’apocalypse … mais il est vrai que la médecine n’est plus ce qu’elle était autrefois, en d’autres temps et en d’autres conditions. La médecine s’est compliqué la vie ; on n’a pas compris que toutes les dérives naturelles doivent être traitées par un dispositif naturel.

L’argent a tout balayé. L’image de la médecine a disparu

Aujourd’hui, on ne cherche même plus la cause, on cherche systématiquement un médicament pour soigner le mal s’en en savoir la cause.

Quand comprendra-t-on que si la nature a des dérives, elle fournit toujours l’antidote ? Entre l’homme et la nature, il y a un pacte qu’il ne faut pas violer.

La médecine n’est, aujourd’hui, qu’un outil ; elle n’a plus la réflexion sur la cause. La chimie, la manipulation des molécules, sont des pratiques contre nature.

Quand une guerre se présente, même contre la nature, ses dérives deviennent importantes. Il faut attaquer par l’offensive. La nature dispose de tout le temps qu’elle veut pour bien et mal faire. Mais la vie, elle, n’a pas le même temps : elle est limitée.

Je ne prétends pas avoir toujours raison mais le moins que puisse faire, c‘est d’essaye avec l’évidence à la clef

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