Au risque de passer pour un ringard arriéré

Notre avenir sanitaire ne viendra pas que des laboratoires qui coûtent fort cher sans vraiment de résultats probants.

Pourquoi ne pas accepter le bon sens de milliers de citoyens qui ont parfois des idées géniales ? Rien ne pourra se faire réellement sans le concours du peuple.

La multiplication des cerveaux doit être mise en première ligne afin de penser et chercher les causes pour aboutir à un résultat. Nous voyons que les problèmes sont mathématiques ou quantiques. Le monde, la jungle de l’espace, ou tout simplement notre système solaire ou notre système terrestre, ont de telles influences sur notre santé qu’il faut chercher les causes qui provoquent ces influences. Et je vous le dis : elles sont légions.

Il est toujours plus économique de chercher les causes que d’avoir à soigner, trop souvent hélas avec des résultats mitigés.

La prévention n’est pas entrée dans les mœurs en France. On s’assure dans une compagnie d’assurances plus souvent pour se protéger soi-même mais d’une manière matérielle tels que l’incendie, l’inondation, etc. Mais la santé ne fait pas partie du registre des assurances. Au contraire, elle en fait augmenter le prix.

Le cancer n’est pas une maladie, le virus non plus. L’un et l’autre ne sont que les conséquences d’un élément extérieur qu’il nous faut détruire. Il y a déjà des organismes tels que le concours Lépine mais plus pour des problèmes matériels que pour des problèmes de santé.

Mettons-nous tous autour d’une table et au travail. Acceptons de connaître et de savoir les pensées de chacun, même si elles peuvent paraître parfois saugrenues. C’est toujours à partir d’une petite idée que vient la solution.

Bien sûr, il faudra faire le tri. Les essais cliniques ne devraient être qu’un outil de contrôle et non un blocage au développement de certaines idées.

Le bon sens appartient tout autant au peuple qu’à nos élites et parfois bien davantage au peuple parce que le bon sens n’est pas de faire d’argent, il vient de la pensée pour autrui. La solution n’est jamais écrite sur un billet de banque, elle est probablement un ensemble de petit morceaux qui constitueront le billet de banque. Autrement dit, une solution peut rapporter beaucoup d’argent mais ce n’est pas avec de l’argent qu’on trouvera la solution.

Pourquoi ne pas constituer de petits comités pour écouter ce que les gens ont à dire ou à faire ? De toute manière, la solution actuelle ne fonctionne pas car, en fait, ces maladies ont toujours pour cause un intrus qui vient déséquilibrer notre vie. Et cet intrus-là, le tout un chacun peut tout aussi bien le trouver que ceux qui se disent scientifiques et qui se croient indispensables.

Non, l’avenir du sanitaire viendra de la mathématique et du quantique. Au moment où l’infiniment petit apparaît , il faut alors aller jusqu’au bout de cette théorie, tels les grains de sable qui arrivent du Sahara, qui pèsent des tonnes et qui pourtant traversent les océans et le continents, que dire de ce qui ne pèse qu’un poids plume ? Il n’est pas exclu qu’il puisse faire le tour de la Terre. Les grains de sable finissent toujours par descendre sur Terre, pourquoi pas les infiniment petits ? Plus ils sont petits, plus ils sont dangereux. Rappelez-vous Tchernobyl avec son nuage qui a fait le tour de la Terre, laissant derrière lui une traînée de désastres. Que ce soit la fumée ou les odeurs, ce sont toutes des micro molécules.

Alors que faut-il faire ? Se protéger par des masques ? Pourquoi pas, mais c’est loin d’être suffisant. Il faut détruire ces intrus là où ils sont, là où ils arrivent et nous connaissons la solution. Dans un espace confiné où il y a cent personnes, un seul contaminé pourra projeter dans l’air de quoi contaminer tous les autres, sans le savoir. Alors que faut-il faire ? Seuls des purificateurs d’air de fortes puissances devront fonctionner partout où se tiennent des réunions.

Et j’irai encore beaucoup plus loin, partant du principe que c’est dans l’atmosphère qu’on peut les retrouver, il faut sans cesse désinfecter tous les sols et les surfaces publiques où ils pourraient se déposer. Cela comprend les rues comme les passages semi confinés tels que les métros.

Aux grandes pandémies les grands remèdes. On n’a pas voulu le faire cet été pendant que le virus dormait, il nous faudra le faire avant l’hiver car nous savons fort bien que le froid est le lieu de prédilection des virus.

Il faut choisir entre des scientifiques qui ne trouvent rien ou si peu et un peuple qui a des idées.

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