A ce jour, ayant échoué sur l’essentiel, Trump fait une fuite en avant, par orgueil.
Monsieur Trump a de grandes qualités mais aussi de grands défauts.
Monsieur Trump ne connaît pas l’équilibre, c’est du tout ou rien.
Monsieur Poutine ne peut que se réjouir des échecs de Trump. Monsieur Poutine est davantage un rouleau compresseur bloqué dans le désert, pas vanité.
Le chaos de Poutine est la faillite réelle de la Grande Russie quelles que soient les parades qu’il veut bien présenter.
L’un et l’autre sont, en fait, des dictateurs pour qui le peuple ne compte pas, bien qu’ils affirment le contraire.
Tout ceci fait l’affaire de la Chine, de l’Europe et de l’Ukraine.
A présent, la Russie ne pourra plus vivre normalement. Elle ne vit plus qu’avec l’argent des équipements militaires mais cet argent s’évanouit dans la guerre avec l’Ukraine.
Quant à la Chine, qui fait fortune grâce à l’Europe et à l’Afrique, ainsi qu’aux Etats-Unis, elle ne pourra plus continuer à produire des équipements ou des matériels peu fiables. Ces deux plus gros clients sont l’Europe et les Etats-Unis. L’Afrique vient après.
Alors, Poutine et Trump sont contraints à une fuite en avant.
L’un et l’autre ne seront que de courte durée.
L’Ukraine se réjouit car, tôt ou tard, elle pourra reprendre la Crimée et pourquoi pas demain ?
Encore une erreur de jugement
Monsieur Macron s’était trompé sur Poutine.
Aujourd’hui, c’est Monsieur Trump qui fait la même erreur.
Il se rend compte que Monsieur Poutine cherche à dominer l’Europe, et pourquoi pas les Etats-Unis.
Deux hommes, deux coqs qui n’arrivent pas à se mettre d’accord sur le rôle de chacun.
Trump se trompe et rectifiera. Poutine se trompe et persévèrera dans l’erreur.
L’un, c’est la finance qui croit pouvoir tout acheter, l’autre, c’est le super orgueil des tsars.
Pour Poutine, l’humain n’est rien.
Le soldat n’est que de la chair à canon.
Difficile de s’entendre avec ces deux-là mais il faudra bien en finir avant que ce ne soit le monde entier qui entre en guerre.
Trump risque la destitution.
Poutine risque la relégation du parti communiste russe.
Croire un seul instant qu’un pays libéral comme les Etats-Unis puissent s’allier avec un dictateur communiste comme Poutine, est encore une erreur de jugement.