Le problème de l’immigration

Le problème de l’immigration ne réside pas en France.

  • On en supporte les conséquences et l’origine en est l’eldorado européen et français.
  • On ne peut pas reprocher à ces Africains de tenter l’exode de leur pays.
  • On ne peut pas tenter de les repousser massivement si nous ne prenons pas le soin de faire en sorte que leur pays d’origine puisse simplement les faire vivre.
  • On dépense des sommes fabuleuses pour les guerres mais, pour l’immigration, que fait-on dans ces pays d’origine pour les aider à survivre ?

Bien sûr, il ne faut pas leur donner de l’argent car il ne serait jamais distribuer aux habitants de ces pays mais il faut leur donner du matériel pour cultiver leurs terres, pour leur donner la possibilité et l’énergie nécessaire pour pomper l’eau qui se trouve sous leurs pieds.

Il faut créer une institution mondiale de contrôle de tout ce qui sera fourni pour s’assurer qu’il soit bien utilisé et non revendu.

J’ai beaucoup voyagé en en Afrique et j’ai constaté premièrement que la corruption est l’apanage des dirigeants, deuxièmement que beaucoup d’outils ou de matériel fournis ne correspondaient pas du tout à leurs besoins. Fournir des chasse-neiges aux pays d’Afrique, c’est quelque peu illusoire ! Troisièmement, on peut faire de tous ces pays un véritable jardin.

On pourra aussi utiliser des panneaux solaires en suffisance. Rien n’empêche d’ailleurs de fournir le matériel pour une centrale nucléaire.

Il faudra bien, de toute manière, que, tôt ou tard, l’occident en prenne conscience.

Mais il ne faut pas faire comme la Russie qui leur donne de l’argent et en retour prend les tonnes d’or extraites de leur sol…

J’ai constaté qu’au Sénégal ils étaient organisés en coopératives agricoles. Leur vrai problème, c’est de pouvoir vendre leurs produits et les moyens de transport avec l’occident manquent à l’appel.

Je crois, dans le fond de moi-même, que l’occident ne tient pas tellement à ce que l’Afrique produise. La concurrence serait dure et sans grande contrepartie.

Mais quand on dépense des sommes colossales pour le problème du climat, que fait-on pour le Sahara et les autres déserts ?

Alors, ne nous étonnons pas que ces Africains tentent de franchir nos frontières.

 

 

Les dérives de la nature, l’humanité

Les virus passent à l’attaque. Notre défense immunitaire ne parvient plus à les repousser. C’est toute l’humanité qui tremble.

A ce jour, ces phénomènes provoquent 60 millions de morts chaque année dans le monde.

Les grandes maladies, la vieillesse, ont pour seule cause les variations des éléments de la nature.

Une bombe nucléaire, c’est peu de chose par rapport aux forces nocives de la nature qui nous entourent, qui nous écrasent.

Une ogive nucléaire, c’est si peu de chose que les Etats ont dû en stocker plus de 15 000. Mais la nature, par les variations des constantes, peut ébranler le monde entier si l’on n’y prend garde.

Les virus, les bactéries, peuvent provoquer l’extinction de l’humanité en quelques semaines et nous n’en sommes pas maîtres, contrairement aux conséquences des ogives nucléaires, que personne n’osera utiliser d’ailleurs, et ce, simplement par le phénomène de la réciprocité immédiate.

Il nous reste donc à fermer la porte aux éléments nocifs de la nature. Pour 90% d’entre eux, nous savons le faire à moindre frais, faut-il encore le vouloir.

Les cancers qui font des ravages, sont la conséquence de ces attaques de la nature.

Il faut arrêter de faire peur avec les bombes nucléaires.

Nous avons le devoir de protéger nos vies. Nous savons le faire, pour le bien-être de tous.

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