Depuis 50 ans, la durée de vie dans le monde ne progresse plus ou presque.
La population mondiale est malade physiquement et mentalement.
Dans certains pays, la natalité s’est effondrée.
En 50 ans, la population mondiale a décru de plus d’un milliard.
Il en découle un problème économique qui pourrait faire reculer le PIB.
En France, le problème est aigu : en moins de 10 ans, le nombre des naissances a diminué de 200 000.
Le résultat, c’est moins de consommation, moins de besoin d’habitations, c’est toute une économie qui peut s’effondrer.
Tout ceci ne serait pas grave si on apportait rapidement de nouvelles solutions à notre problème de santé.
Faire vivre plus longtemps notre population, et en pleine forme, pourrait résoudre ce problème.
Au plan technique, le problème est résolu avec les régulateurs de constantes.
Reste à convaincre tout un chacun du désir ou de la volonté de vivre plus longtemps.
Les déficits de la Sécurité Sociale deviennent de plus en plus accablants et pèsent très lourdement sur notre pouvoir d’achat.
Les maladies mentales ont fait un bond exceptionnel.
En fait, on croit mieux vivre mais on vit très mal.
Et la nature en est la seule responsable.
Il ne faut pas confondre le climat et les éléments constitutifs de la vie.
- L’un n’empêche d’ailleurs pas l’autre.
- Pour les climats, des efforts ont été faits, mais rien, absolument rien, pour la durée de vie.
Une guerre rapporte toujours à quelques-uns
Une guerre rapporte toujours à ceux qui fournissent les armes sans, pour cela, être directement impliqués dans la guerre en question.
Une guerre a pour conséquence la destruction d’immeubles, d’usines, de bâtiments publics, etc., et la reconstruction rapporte gros.
On oubliera ensuite tous ses morts, hormis l’érection de monuments à leur gloire.
Les guerres qui se déroulent actuellement seront probablement les dernières avec des batailles au sol, au face à face, avec des lignes de front qui déplacent les frontières.
Demain, les guerres se feront à distance et uniquement par les airs.
Et ceux qui y survivront seront épris plus que jamais de liberté.
Faire face à une nature désordonnée est une liberté à préserver, comme les autres.
Nous allons avoir affaire, en face de nous, à l’incrédulité.
Cette guerre que nous allons mener ne tuera plus, elle redonnera vie à tous ceux qui ont déjà perdu l’espérance et à tous nos enfants, à l’abri de la maladie.
On évitera ainsi des morts prématurées, faute de ne pas avoir réguler les constantes, piliers de notre vie.
Mon seul regret, est de ne pas y avoir pensé plus tôt et de l’avoir développé un peu tard, tout du moins en ce qui me concerne.
Mais l’espérance de vie est à présent un futur certain pour tous ceux qui arrivent au monde mais aussi pour tous ceux qui sont déjà atteints d’une maladie dont on pourra neutraliser les causes.
Cette guerre contre les variations de cette nature bouleversera notre économie et notre manière de vivre.
En conclusion de tout cela, on sera plus nombreux, on consommera davantage et les marchands d’armes n’auront plus d’existence.
Toutefois il faudra construire beaucoup d’usines pour fabriquer les milliards de régulateurs nécessaires.
