C’est peut-être un peu du bluff, car cela dépend du terrain que l’on veut perforer.
Je vois mal cette bombe perforer les abris de nos sous-marins nucléaires, en Bretagne.
Il faudrait percer 100 m de granit.
Il serait plus facile de perforer la base souterraine de Taverny, à 50 km de Paris.
Elle se trouve être à 200 m sous un terrain crayeux.
D’ailleurs, je vois que Monsieur Trump a des doutes en ce qui concerne cette bombe.
Les Iraniens ne sont pas des débiles, ils sont à la pointe des techniques, du savoir et du savoir-faire.
Ce sont les descendants des Perses.
A ce jour, personne n’a intérêt, hormis les marchands d’armes, à ce qu’il y ait une troisième guerre mondiale.
Mais, aujourd’hui comme hier, il est quelques débiles mentaux dans le monde à la tête de puissances économiques, pétrolières ou financières.
La France n’est pas à l’abri de quelques éclaboussures.
La voix du pays des lumières a besoin de préparer une autre ère et celle d’un nouveau monde.
Un marché fabuleux
Deux à trois milliards de régulateurs de constantes sont nécessaires pour le monde entier, soit 15 000 milliards d’euros.
La population mondiale va doubler.
La vieillesse aura disparu.
La production mondiale va croître de 200 %, la consommation, d’autant.
Et tout ceci, sans la moindre fatigue supplémentaire.
On aura, alors, les moyens de régler le problème des déserts où l’on produira suffisamment pour nourrir toute la population mondiale.
On vivra 180 ans et plus, en pleine forme.
On travaillera jusqu’à 120 ans.
Et tout ceci, se réalisera dans un délai de 20 à 50 ans.
Le problème du climat sera résolu : chacun aura régulé une grande partie des dérives de la nature, que ce soit dans sa chambre à coucher ou dans son bureau.
- Un rêve, n’est-ce pas ?
- Un rêve d’hier mais une réalité d’’aujourd’hui.
Mon seul souci sera l’incrédulité des hommes qui n’ont jamais osé affronter la nature.
Peu d’hommes n’avait osé affronter les monopoles : je l’ai fait.
Alors, pourquoi ne pas affronter la nature !
Le monde va changer.
La peur va changer de camp.
La souffrance ne sera qu’un triste souvenir.
Il suffisait de trouver la faille : c’est chose faite…
