Les coûts sociaux liés à la santé et aux retraites ne sont que la conséquence directe des maladies.
Transférer ce poids sur le travail, comme le propose la TVA sociale, ne fait que déplacer le problème sans le résoudre.
En 1945, au moment où le système actuel a été pensé par le général de Gaulle, la mondialisation n’existait pas. Aujourd’hui, la donne est différente.
Il faut aller plus loin : neutraliser les causes des maladies et du vieillissement. Alors disparaîtra mécaniquement le coût des soins et des retraites.
Vivre en pleine forme et longtemps, c’est possible. Oui, il faudra travailler plus longtemps dans la durée, mais beaucoup moins chaque semaine.
Une retraite à 120 ans permettrait de résoudre tous les problèmes liés au système actuel. Et en régulant notre santé, nous pourrons produire mieux et davantage.
Le régulateur des pressions atmosphériques et le dispositif des flux magnétiques mettront fin au malaise de notre temps.
Il n’est pas nécessaire de voter une nouvelle loi : il suffit de s’équiper.
La TVA sociale a été proposée mille fois et mille fois refusée. Espérons qu’il en sera encore ainsi, car une solution bien plus efficace existe déjà : la régulation des constantes vitales.
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