Ce n’est qu’au 13ème siècle qu’un moine conçoit la première paire de lunettes et c’est 425 ans avant Jésus-Christ qu’un philosophe constate, au travers d’une bulle d’eau, que les lettres de son parchemin apparaissent plus grandes.
Eh oui, entre la découverte et une réalisation, il faut beaucoup de temps, au détriment du bien-être et de la santé de l’humanité.
Il faudra moins de temps pour réaliser un régulateur de pression atmosphérique.
Il a fallu également un certain temps pour que le Dr Laurent Schwartz constate que les cellules mortes, en se décomposant dans le sang, produisaient une substance nocive et délétère, seule cause des cancers et des grandes maladies ainsi que de la perte de nos défenses immunitaires.
C’est l’équipe du Dr Duranteau qui a mis au jour la fragilité des capillaires.
Il m’a fallu joindre ces deux constats pour éviter la mort des cellules.
Et c’est au sein d’un groupe de pompes funèbres que j’ai pu constater que les décès étaient beaucoup plus importants quand il y avait des variations de pressions atmosphériques, variations qui provoquent la rupture de la circulation du sang et, par conséquent, d’approvisionnement en oxygène des capillaires.
La boucle était bouclée.
C’est dans ces conditions que j’ai créé le régulateur de pression atmosphérique, Hygée, qui évitera toute rupture d’alimentation de nos cellules en oxygène.
Cette régulation des constantes de notre vie nous fera entrer dans un autre monde pour y passer une autre vie.
Quand la technique prend vie
La technique n’est pas un substitut à la médecine. Elle est le moyen préventif à une médecine en échec. La technique doit devancer le besoin de soigner.
C’est à la technique de pallier les dérives d’une nature assassine.
La technique se doit d’être un protecteur de la vie et, en aucun cas, l’outil de la médecine.
La médecine doit se transformer en mécanicien de la technique et d’être son utilisateur.
La technique évite, et la médecine, à ce jour, ne fait que soigner et réparer un défaut technique.
La technique, les mathématiques sont des précurseurs face à la maladie.
La médecine actuelle tue plus qu’elle ne soigne. Elle n’a pas compris qu’il fallait neutraliser les causes en s’attaquant aux dérives de la nature.
Le « je ne sais pas » des médecins est très souvent exprimé, à ce jour. Pour le pallier, ils auront à présent le régulateur, non seulement des pressions atmosphériques mais aussi des flux magnétiques.
80% des médicaments utilisés ne sont que des placebos, ou tout au plus des palliatifs à notre douleur.
Je n’ai rien contre personne, je cherche simplement à apporter un plus à la vie de chacun d’entre nous.