Depuis des siècles, faute de moyens techniques, mécaniques ou électroniques, la médecine s’est servie de produits, de plantes, de racines, ayant une certaine efficacité sur certaines maladies.
Au cours du siècle dernier, on a commencé à donner des potions médicamenteuses mais force est de reconnaître : pour un échec flagrant. On a gagné du temps de vie mais au compte-goutte.
L’industrie pharmaceutique s’est développée sans beaucoup plus de résultats face aux terribles maladies qui tuent l’homme.
On est handicapé, puis on acquiert un statut de vieillard avec de mauvaises conditions de vie, et on meurt.
Il nous faut ouvrir une nouvelle ère sans laquelle, au lieu de soigner, on évitera tout ce qui peut dégrader l’homme.
Pour ce faire, il nous faut réguler les éléments invisibles de la nature. Invisibles, certes, mais mesurables.
Ces forces ne sont pas ressenties. Depuis des siècles, on a régulé le chaud, le froid, par le feu ou par l’énergie électrique. De la caverne troglodyte, on a évolué pour des maisons en toit de chaume, avec une cheminée d’ailleurs.
On a évité les forces du vent, les désagréments de la pluie et de la neige mais aussi des bêtes sauvages. On est allé chercher l’eau à la source pour boire et on a chassé pour manger. Bref : on a gagné un peu de temp de vie.
Tout a évolué, en conservant certains avantages déjà acquis.
Aujourd’hui, on a méconnu les forces invisibles et destructrices du corps humain. Ces forces sont les dérives des pressions atmosphériques invisibles et non ressenties en apparence.
On ne s’est pas inquiété des forces destructrices du rayonnement solaire pas plus d’ailleurs que des forces magnétiques et nucléaires du soleil.
Pour réguler ces forces, il fallait des moyens mécaniques, électroniques, que nous possédons aujourd’hui
Avec ces moyens, nous allons créer une nouvelle ère où la vie sera protégée au quotidien et dans la durée. Nous franchirons aisément le cap d’une durée de vie au-delà de trois chiffres. Tout ceci deviendra évident : le bien-être, la pleine forme, le développement de nos capacités physiques et intellectuelles. Elles auront tellement progressé que nous pourrons envisager de nouveaux voyages dans l’univers.
Notre économie, notre social, notre bien-être, seront bouleversés. Comme l’eau que l’on va chercher à la source, on ira chercher les causes de nos maladies à leur source, c’est-à-dire dans la nature. Et nous les régulerons.

