Non, Monsieur Poutine

Non, Monsieur Poutine, vous ne serez jamais un tsar ! Vous êtes mort. Votre chantage démontre votre faiblesse.

Vous n’êtes que dans le rêve, Monsieur Poutine. Vous essayez de diviser l’Europe mais en vain.

Comment pouvez-vous imaginer que dans un pays de 140 millions d’habitants qui vient de perdre 1 400 000 soldats et 4 millions de blessés, que vous pourrez faire face à un occident qui possède 1 milliard d’habitants ?

Si vous croyez les effrayer, vous vous tromper.

C’est pour vous une équation impossible à résoudre ainsi que pour votre peuple qui en assez de recevoir des cercueils tous les jours. Et ce sera ainsi jusqu’à la victoire de l’occident.

Vous êtes le double d’Hitler. Vous ne savez plus où vous mettre. Les trois-quarts du monde vous rejettent. Vous finirez comme lui.

Votre peuple a du pétrole mais pas d’essence. Il fait la queue aux stations-services. Votre économie ne tient qu’à l’industrie de guerre que vous financez en pure perte.

Il vous faut évacuer l’Ukraine et la Crimée.

Monsieur Trump, très versatile, se dit être votre ami mais son peuple ne l’est pas. Le peuple américain, c’est la liberté, et l’Ukraine, c’est la liberté. Ils sont dans le même camp.

Monsieur Poutine, l’Europe que vous voudriez occuper ne souhaite pas vous voir y mettre les pieds. Et il n’y a pas que l’Europe, il y a le Japon, l’Australie, la Corée du Sud, Taïwan et combien d’autres, qui vous rejettent.

Monsieur Poutine, faites rentrer vos soldats dans leurs familles pour Noël auprès de leurs enfants. Quittez l’Ukraine.

Vous utilisez vos dernières cartouches mais mêmes vos ogives nucléaires ne fonctionneront pas : elles sont trop anciennes. Les 1 000 milliards que vous aviez placés en occident servent aujourd’hui à l’Ukraine pour financer sa défense. Je doute que votre peuple le sache. Et l’Europe a prévu 15 000 milliards pour finir cette guerre.

Monsieur Poutine, vous avez cassé vos jouets avant Noël et vous ne passerez pas Noël. Le monde entier vous attend, l’arme au poing. Ce qui disent être vos amis ne le sont pas et vous ne tarderez pas à le constater. Même dans votre armée, il y a des failles.

Oui, Monsieur Poutine, c’est fini.

 

 

En cassant les monopoles

En cassant les monopoles, j’ai ouvert la loi à la libre concurrence dans de multiples secteurs.

Certes, j’ai cassé le monopole des pompes funèbres, celui de la distribution automobile celui de l’énergie pétrolière. Mais, en fait, ce sont des dizaines d’autres secteurs d’activité qui se sont servi de la jurisprudence pour rendre la liberté à leur secteur.

La concurrence n’est pas et ne sera jamais efficace si, en parallèle, on ne met pas fin aux coûts sociaux exorbitants et qui ne cesseront de s’accroître.

Aujourd’hui, c’est la maladie, c’est la vieillesse, qui nous empêchent d’être compétitifs.

Alors il faut s’attaquer aux causes !

Aujourd’hui, on a fait de la maladie, du cancer et de la vieillesse, une vraie spéculation financière.

Pour moi, il n’est pas question de réduire les avantages sociaux mais d’anéantir les causes. Nous vivons dans un espace qui nous est néfaste.

  • « Monsieur Leclerc, vous n’arrêterez pas le vent, la pluie, le froid, les pressions atmosphériques, les rayons solaires et les flux magnétiques ! « .
  • « Messieurs, je ne prétends rien de cela. Je prétends simplement les réguler aux fins qu’ils ne détruisent plus notre corps ».

C’est pourquoi j’ai inventé et fait fabriquer Hygée le régulateur.

Oui, la nature est une forme de monopole qu’il faut maîtriser. Cela en vaut la peine. Ce sera 350 000 morts de moins chaque année et 350 milliards d’économie en soins. Ce sera une production doublée qui engendrera des recettes pour l’Etat.

Oui, il faut casser les monopoles. Ce sont des parasites qui coûtent cher à la société et qui nous empêchent de vivre longtemps.

Il y l’adage : « aide-toi et le ciel t’aidera ». Alors debout la France !

www//hygeeleregulateur.fr

 

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.