Et si 50 ans n’était que le début ?

Souvent, c’est parce que l’on ne cherche pas à se remettre en cause ni à s’adapter aux nouvelles techniques. Mais c’est aussi parce qu’on se laisse aller aux dérives des constantes de la vie.

L’État a un rôle majeur : garantir à chaque citoyen la formation continue, mais aussi la conservation des capacités physiques et intellectuelles nécessaires pour rester actif. Avec une durée de vie qui pourrait atteindre 180 ans et plus, il est urgent de repenser ce modèle.

La médecine, quant à elle, a réduit la souffrance mais rarement la cause profonde des maladies. Elle semble plus attachée à ses privilèges et à son monopole qu’à la remise en cause de ses fondements. Résultat : de nombreux individus, entre 40 et 60 ans, se sentent exclus de la dynamique économique.

Il est temps d’affirmer que l’homme peut vivre et travailler bien plus longtemps, à condition de respecter et de réguler les constantes vitales.

Améliorer l’homme avant l’outil

On investit des fortunes dans les machines, mais bien peu dans la santé de ceux qui les utilisent. Ce n’est pas le travail qui épuise l’homme, mais le manque de maintien des constantes vitales.

La vieillesse elle-même est devenue une maladie technique, à laquelle des solutions existent. Avec une régulation adaptée, il est possible de :

  • supprimer ou réduire la fatigue,

  • conserver ses facultés,

  • travailler plus longtemps,

  • produire deux à trois fois plus,

  • tout en vivant heureux et en pleine forme.

Il est temps de perfectionner la machine humaine avant de perfectionner l’outil. Car ce sont les capacités de l’homme qui doivent primer, et non celles de la machine.

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