C’est vrai. Quel désastre pour nos exportations, pour notre PIB, pour notre pouvoir d’achat, en raison des charges sur les coûts de production.
La vraie et la seule solution est de réduire ces charges d’au moins 60% afin de redevenir compétitifs.
Comment ? En s’attaquant aux causes du vieillissement et des grandes maladies ainsi qu’aux absences au travail.
On pourrait travailler avec plaisir, en conservant son souffle.
Les causes : personne n’y a pensé. On parle du tabac, de l’alcool, de la drogue et, maintenant des pesticides. Ce ne sont que des facilitateurs. Les vraies causes émanent toutes des éléments nocifs de la nature.
Oui, la nature nous donne la vie mais s’empresse de la reprendre après un séjour de 83 ans en moyenne. Au-delà, votre carte de séjour est périmée et l’on doit retourner d’où l’on est venu.
Peut-être, mais ce que je propose, c’est de neutraliser les causes, de vivre en pleine forme, sans maladie ni vieillesse avec une carte de séjour doublée et tous nos problèmes sanitaires, financiers et de bien-être, seront résolus.
Impossible, me dites-vous ! Comment peut-on parler de quelque chose que l’on ne connaît pas ?
Même les chercheurs Chinois reconnaissent, à ce jour, la corrélation entre la pression atmosphérique et la mortalité.
Ce sera l’objet d’Hygée le régulateur, pour recharger les réserves d’oxygène de nos cellules.
On pourra alors, peut-être, avoir un régime social qui nous permettra de vivre.
C’est le plus cadeau qu’un homme puisse faire à l’humanité.
L’Etat et la vie
Voter des lois pour autoriser l’euthanasie est une faiblesse face à nos capacités de vie et de bien-être.
On parle beaucoup d’argent et si peu de ce qui peut le produire.
Ce n’est pas par l’impôt que l’on fait vivre une nation mais en combattant les risques de la nature. Oui, il faut oser s’attaquer au sanctuaire de cette nature insolente.
« Rien, aujourd’hui, ne vous permet, Monsieur Leclerc, de parler ainsi ! » Rien, peut-être, mais tout conduit à ma conclusion. Et si je ne réussis pas à 100%, ce sera au moins à 90%.
Créer, c’est utiliser ce à quoi personne n’a pensé. C’est apporter un plus à l’humanité en veillant à ce que quelques profiteurs sans vergogne en tirent un intérêt.
L’Etat se doit d’être l’applicateur des découvertes et ce n’est pas seulement dans les Grandes Ecoles que se trouvent les créateurs et les inventeurs.
L’Etat doit savoir en tirer profit pour tous, pour que vive la France.
