Il met des taxes excessives à répétition, c’est un vil percepteur.
Il est le raquetteur en demandant à tous les pays de l’OTAN d’accroître leur participation à hauteur de 5% de leur PIB.
Ce qu’il ne dit pas, c’est que les dépenses de l’OTAN en matériel et munitions correspondent à leur fourniture par les Etats-Unis. Autrement dit, on remplit les caisses des Etats-Unis avec l’argent du monde entier.
Ne serait-il pas plus judicieux de réduire de moitié les bases de l’OTAN dispersées dans le monde ? Sont-elles toutes nécessaires au vu des nouveaux armements et des nouvelles technologies ? On n’est plus à l’époque du corps-à-corps, ou si peu. Tout se passe dans le ciel par missiles et drones.
On pourrait aisément réduire le coût de l’OTAN de 30% sans en diminuer l’efficacité.
Le monde entier n’est pas chargé de financer l’industrie des Etats-Unis. Monsieur Trump l’a parfaitement compris, mais c’est avant tout un commerçant et un financier qui croit pouvoir tout régler avec de l’argent.
Le résultat ne se fait pas attendre. Le dollar, monnaie internationale, a perdu de sa primauté. Monsieur Trump ramène la notoriété des Etats-Unis à celle d’un pays lambda. Et tout cela avec un racket sur tout un chacun.
Il nous dit qu’il dépense 912 milliards chaque année pour l’armement de l’OTAN. Ce qu’il oublie de dire, c’est que ces 912 milliards rentrent dans les caisses des Etats-Unis.
Il faut arrêter de prendre le monde pour des imbéciles. Certes, la puissance militaire des Etats-Unis est indiscutable mais on s’aperçoit qu’elle ne résout pas tout. Il y a beaucoup de bluff dans tout cela.
La loi du plus fort n’est pas aux Etats-Unis. Elle se trouve dans le savoir-faire du peuple.
Les dépenses de santé et du social
On nous annonce une réduction des dépenses de 1,7 milliards sur la santé, sur le social, mais à quoi servira de réduire les dépenses de 1,7 milliards quand le total des dépenses représente 700 milliards ? Ils sont répartis de la manière suivante : 350 milliards pour les soins médicaux et 350 pour les retraites
N’y a-t-il pas davantage de solutions plus crédibles ? Celle de réduire les causes qui nous conduisent à ces dépenses me paraît plus évidente. Et ce n’est pas un milliard que l’on peu économiser avec celle-ci mais 350 milliards, soit la moitié de ces budgets.
Réduire les dépenses du social en diminuant les prestations n’est pas ma devise. C’est en évitant les dépenses que l’on résoudra le problème.
Apporter à notre pays une autre vision du sanitaire et des retraites en éradiquant les causes permettra de conserver une vie en pleine forme à l’abri des maladies et de la vieillesse. Sans oublier une vie beaucoup plus longue
Je vous en supplie, revenons à l’évidence. Cela ne coutera que quelques euros qui pourraient d’ailleurs être largement financés par les économies faites par la Sécurité Sociale et les Caisses de retraites. Notre ministre de la Santé et celui de l’Industrie devraient y être parties prenantes.
On ira travailler avec plaisir et non contraint. On vivra jusqu’à 180 ans et l’on travaillera jusqu’à 120 ans.
La seule solution pour tous sera l’utilisation des dispositifs et des techniques qui neutraliseront les causes.
Impossible, allez-vous me dire ? Hier peut-être, aujourd’hui sûrement pas, et tout à fait réalisable.