Doit-on sauver la France et la liberté ?
En ne faisant pas le nécessaire en Ukraine, on met la France et l’Europe en péril.
Si nous ne réglons pas les problèmes de santé en France et leur coût, on met l’économie française en péril.
La chienlit ne conduit qu’au désastre. Accuser toujours les patrons, c’est un peu facile.
En revanche, ceux qui, par incompétence, font que le travail est une corvée au lieu d’un plaisir, doivent être mis au banc des accusés.
Être en pleine forme, ou le croire, tout du moins, n’est pas réel dans les conditions de santé actuelles.
Ce ne sont pas les bataillons de soldats qui sauveront nos facultés physiques et intellectuelles et notre durée de vie. Ce n’est pas leur mission. Ce ne sont pas non plus les patrons et la médecine qui changeront le cours de la vie.
Ce n’est qu’en régulant ce qui nous tue et nous détruit, jour après jour, que l’on parviendra à mettre fin à tout ce qui nous détruit.
Ce n’est pas non plus la horde de médicaments qui résoudra la neutralisation des causes.
C’est en rétablissant toutes nos constantes, piliers de notre vie, que nous retrouverons une vie paradisiaque.
Nous n’y arriverons pas avec les solutions actuelles. Aujourd’hui, on peut vivre son paradis sur terre. En travaillent, bien sûr, mais un travail souhaité et non imposé.
Ce sont 20 ans d’incrédulité qu’il va falloir vaincre. On va me dire que si c’était vrai, il y a longtemps qu’on l’aurait réalisé. C’est faux. Il faut simplement y penser et utiliser les techniques au service de l’homme et retrouver ainsi la joie de vivre.
Les techniques vont résoudre le problème des causes. C’est une technique qui n’existait pas, il y a cent ans de cela, mais qui est à notre portée aujourd’hui.
Il ne manque plus qu’une chose, c’est la volonté de faire.
Dans tous ce que vous achetez
Dans tout ce que vous achetez, il y a en moyenne 50% de cotisations pour payer les méfaits des maladies en tous genres ainsi que le désastre des retraites.
Comment peut-on encore parler de compétitivité ?
Les Syndicats accusent les patrons qui font fortune.
Mais il en est beaucoup aujourd’hui qui vont tout perdre avec leur dépôt de bilan.
S’il n’y a plus de patron, il n’y aura plus d’employé ou d’ouvrier.
La solution ne viendra pas des défilés dans la rue. Syndicats de droite, du centre ou de gauche :
ce n’est pas la politique qui résoudra le problème et apportera le bien-être des salariés.
Les Français sont malades, sans le savoir.
L’attitude des gouvernements et de la médecine est une insolence à la vie.
Ce n’est pas dans les laboratoires que l’on résoudra le problème des causes.
On se contente de chercher les moyens pour soigner, à prix d’or.
J’ai constaté d’ailleurs qu’aujourd’hui, dans les publicités télévisées, on ne parle plus de soigner le cancer mais de l’éviter.
C’est déjà un pas vers un nouvel avenir.
Les instituts qui réclament de l’argent à cors et à cris auraient-ils compris que ce n’est pas de l’argent qu’il faut mais du bon sens et de l’évidence.
Les causes sont tellement évidentes, dans la nature, qu’on n’ose même pas les regarder alors qu’elles nous crèvent les yeux.
Il faut y mettre fin.
C’est l’objectif d’Hygée le régulateur.
Du mépris au doute, suit l’évidence.