Mille fois proposée, mille fois refusée par les partis politiques.
Sur une idée du Général de Gaulle et de mon frère Edouard, a été formulée la TVA sociale et j’y ai adhéré.
Il est vrai que cette solution aurait été excellente dans une France raisonnable où la répercussion des coûts se ferait normalement sur les prix à la consommation.
Ce n’est pas toujours le cas.
On préfère augmenter les marges de profit dans toute la chaîne de production et de distribution.
Cependant, l’idée est bonne, mais son application est difficile. On risque fort de créer une nouvelle inflation.
Certes, cette idée aurait pu être excellente sur nos prix à l’exportation en apportant une solution de compétitivité.
Une fois de plus, aujourd’hui, on propose cette solution mais, en fait, on ne fait que déplacer un problème.
Je pense que la vraie solution est la suppression des coûts sociaux, maladie et retraite, ainsi que d’accroître la durée de vie.
Ceci résoudrait le coût des cotisations maladie et retraite. Et la compétitivité serait excellente, y compris à l’exportation.
Pour ce faire, il faut neutraliser ou réguler les causes des maladies et de la vieillesse.
C’est le rôle d’Hygée le régulateur suite à ma découverte et sa fabrication.
Il permettra de maintenir stables nos constantes, dont la pression atmosphérique sur notre corps.
Nous savons le faire à présent et il est construit en série en usine.
Il faudra un peu de temps pour que chaque foyer puisse s’en équiper au même titre qu’un radiateur ou un climatiseur à un degré déterminé (19, voire 20).
On pourrait, de plus, s’équiper du dispositif qui permettrait de réguler les flux magnétiques.
Tous ces appareils permettraient de vivre en pleine forme, loin de la maladie et de la vieillesse.
On aura alors supprimé les coûts qui leur sont imputables.
Ridicule ! allez-vous me dire.
Votre incrédulité peut-être, qui ne pourra que retarder cette révolution sanitaire.
Mais elle se fera de toute manière en France en Europe et dans le monde.
La compétitivité sera revenue.
Nous assisterons alors à une durée de vie de cent ans de plus.
Soyons courageux, sans peur ni reproche.
Acceptons ce combat face à la nature d’où proviennent tous nos maux.
Une horloge et ses critères
Quelle soit mécanique ou électronique, elle fonctionne selon des critères bien précis du temps qui passe.
Et Voltaire de dire : je ne puis concevoir que ce monde vive sans un horloger. Il en est de même pour notre vie.
Elle se déroule selon des critères, des règles bien précises que l’on appelle les constantes.
C’est un match entre la vie et la mort. En y dérogeant, il y a la sanction.
L’homme passe à côté de l’évidence et se suicide.
Je ne crois pas trop à tout le folklore spirituel qui se dévoile face à la mort.
Mais, vous allez me dire : comment faire pour se rapprocher d’une vie éternelle ?
Tout d’abord, il faut que l’horloger qui nous a donné la vie et l’intelligence soit respecté, pour gagner le match de la vie.
Dieu a conçu l’homme libre de respecter les règles ou pas et aussi d’en accepter les conséquences et résultats.
A nous, hommes de peu de foi de prouver que notre vie n’est pas limitée si on respecte la totalité des constantes visibles et invisibles, connues et peut-être inconnues.
Nous allons essayer de conserver notre liberté qui m’est si chère, le plus longtemps possible, en pleine forme, sans perdre notre défense immunitaire et en évitant tout ce qui peut la contrarier.
L’horloge est éternelle, le cadran solaire existe déjà depuis des millénaires, et décline, jour après jour, chaque heure.
La vie existe depuis des lustres.
A nous, comme l’horloge naturelle, de conserver la vie qui nous a été confiée et nous sommes à présent sur le bon chemin.
Ce n’est plus un rêve.
C’est simplement éviter que la nature ne nous tue.