Notre existence n’appartient pas au monde médical. Elle n’est pas sa propriété.
La médecine avait pour mission de nous protéger des maladies. Or, si quelques progrès ont été accomplis, l’essentiel n’a pas été traité : on soigne avec des médicaments coûteux et souvent peu efficaces, sans s’attaquer aux causes profondes.
La vieillesse est présentée comme une fatalité. En réalité, elle commence dès la jeunesse, par une perte progressive de notre défense immunitaire. Résultat : les maladies infectieuses représentent près de 80 % des décès, car on n’a jamais vraiment cherché à les éradiquer à la source.
À 100 ans, notre système immunitaire est à zéro. La seule vraie solution consiste à assurer en continu l’oxygénation des cellules et des organes, quelles que soient les conditions extérieures. Or, ce n’est pas le cas aujourd’hui.
La clé : réguler les pressions atmosphériques. Sans cela, les cellules s’asphyxient et meurent ; les organes, comme le pancréas, cessent de remplir leurs fonctions vitales.
Après plus de 40 ans d’observations et de recherches, j’ai trouvé une réponse simple et efficace. Elle paraîtra incroyable et sera accueillie avec scepticisme, mais je suis convaincu que, dans 20 ans, chaque foyer pourra en être équipé.
Alors, il sera possible de vivre en pleine forme, jusqu’à 180 ans et plus, si nous respectons les constantes naturelles qui régissent la vie.
Une comparaison simple
Quand vous voulez vous chauffer, vous achetez une chaudière, un radiateur ou une pompe à chaleur. Vous n’avez pas besoin de l’autorisation d’un médecin, mais seulement d’un artisan.
De même, pour vivre longtemps et en bonne santé, il suffit de réguler les pressions atmosphériques. Pourquoi faudrait-il un aval médical, alors que c’est une évidence ?
Un respirateur d’oxygène artificiel, prescrit par un médecin, n’a pas d’efficacité réelle si l’oxygène n’arrive pas jusqu’aux cellules, bloqué par la fermeture des micro-vaisseaux.
C’est en m’appuyant sur les travaux du Professeur Duranteau et du Dr Laurent Schwartz que j’ai pu aboutir à cette découverte. Il est désormais temps de l’appliquer.