Poutine est l’homme qui ne respecte rien, ni sa parole, ni la vie d’autrui. Comment faire confiance à un tel personnage ?
C’est Hitler en pire. C’est un sadique orgueilleux qui voudrait représenter ce grand peuple qu’est la Russie. Ce peuple mérite mieux qu’un assassin sans foi ni loi.
Un homme qui ose voler les enfants, les tuer et tuer son peuple en le massacrant odieusement.
Tout ceci va mal se terminer. 140 millions de Russes face à 500 millions d’Européens et autant d’Américains et de Canadiens, tout aussi bien équipés que la Russie, ne peuvent vaincre une Ukraine qui ne fait que protéger sa terre.
Ses alliés ne peuvent que vanter le courage des Ukrainiens. Chaque jour, près d’un millier de jeunes sont tués et, chose étonnante, deux fois plus du côté russe que du côté ukrainien. Ceci devrait faire réfléchir Monsieur Poutine qui se dit être le tsar. Mais de quoi donc ?
Nous, Européens, aurons-nous le courage d’être tout le temps, en personnel, en matériel, en munitions, aux côtés de ce pays qui le mérite ? Il est vrai que nous sommes quelque peu déficients.
Mais viendra tout de même le jour de gloire. Non pas avec des pourparlers, mais avec la victoire.
Etablir une justice sociale et sanitaire
Les pauvres, comme les riches, sont soumis aux mêmes actions de la nature.
Si aujourd’hui il y a un différentiel dans l’accès aux soins, la justice sera établie avec Hygée le régulateur.
Riches ou pauvres ont droit à la vie. Fallait-il encore leur en donner les moyens.
Hygée le régulateur est si simple que l’on n’ose y croire. Mais il mettra fin aux causes qui entraînent les maladies et limitent la durée de vie.
Cette justice permettra peut-être de dire à tout un chacun, riche ou pauvre, qu’il doit mener le combat nécessaire au respect des règles.
Plus encore, il devra vivre l’incrédulité face à cette petite chose, ce petit outil, pour réaliser de grandes choses.
L’Etat sera-t-il assez intelligent pour participer au combat en prenant en charge les coûts afférents à ce petit outil ? Le résultat serait si important : plus de 350 milliards de frais de santé économisés chaque année.
Et bien au-delà de l’argent, c’est notre durée de vie qui fera qu’on l’adoptera.