Ce que fait l’Europe aujourd’hui en apportant aide et assistance çà l’Ukraine, n’est pas une œuvre de bienfaisance.
C’est simplement parce que c’est son intérêt.
L’Ukraine ne demande qu’une chose :
conserver son territoire aux frontières de 2014, qui lui a été octroyé par de nombreux traités internationaux dont la Russie en tant que partie prenante.
On ne peut plus accepté quelle que soit la solution proposée par Poutine, de modifier ces traités.
L’Ukraine veut rester libre et européenne.
L’Ukraine vivra parce que c’est l’intérêt de l’occident.
Ne serait-il pas possible de créer un compte où tous les Européens pourraient déposer un minimum d’argent pour l’Ukraine ?
Je suis certain que l’on serait surpris de la générosité des Européens.
5 à 10 €, chaque mois, permettrait à l’Ukraine de se reconstruire car l’Ukraine vivra.
Je me refuse
- Je me refuse de vivre avec une épée de Damoclès sur la tête.
- Je me refuse d’être la proie de la nature.
- Je refuse qu’on m’impose un handicap que je n’aurai même pas la possibilité d’éviter.
La source des causes de tous nos maux, de toutes nos souffrances et d’une mort anticipée, voire brutale, résident dans la nature.
Soigner ne peut être une finalité. Eviter est la solution en régulant les causes que nul n’a osé, à ce jour, braver.
La nature, les oiseaux qui chantent, n’est qu’une de ses faces. L’autre face est mortelle.
Vivre est une liberté dont on peut se priver. Aujourd’hui, cette liberté nous est limitée à 83 ans. Je propose doubler, au minimum, cette durée de vie en mettant fin aux grandes maladies et à la vieillesse.
Oui, je veux vivre longtemps et en pleine forme et plus encore pour mes enfants et mes petits-enfants. Je ne laisserai pas la face destructrice de la nature poursuivre son sinistre dessein.
C’est si simple qu’il fallait y penser. Peut-être même top simple pour beaucoup.
L’univers suit des règles. Notre santé impose des règles. Nous devons réguler toutes nos constantes.
Et nous savons le faire.
