De petits oiseaux survolent déjà nos territoires : des drones…
Chose curieuse, qu’a-t-on fait pour les intercepter ? Va-t-il falloir attendre que les charges explosives qu’ils détiennent tombent sur l’Elysée ?
C’est notre démocratie, notre liberté, que nous allons devoir défendre. Il n’y a plus de doute : Poutine veut la guerre. Et nous laissons les oiseaux dans leur transhumance éteindre les lumières de nos pays.
Poutine est un fou qui va faire de gros dégâts, en oubliant son peuple. Il se croit si puissant qu’il en rêve toutes les nuits…. Mais les rêves se concrétisent rarement.
Dans le cas présent, je suis étonné par le peu de réactions à ces signes précurseurs.
Tout commence par l’Ukraine et seule une victoire de l’Ukraine aujourd’hui mettra fin aux ambitions de Monsieur Poutine.
La politique de Monsieur Poutine est celle de la terre brûlée.
Va-t-on encore tergiverser longtemps ? Va-t-on croire aux miracles ?
La Russie est au bord du précipice, il faut y pousser ses dirigeants en leur coupant toutes les ressources possibles et en appliquant la stratégie de Monsieur Zelenski : détruire toutes les raffineries russes.
L’impassibilité de l’Europe est révoltante. Monsieur Trump a-t-il réellement un contrat avec Monsieur Poutine ? Il faut que l’Europe passe outre car tout ce que fait Monsieur Trump n’est pas toujours, ni légal, ni efficace.
Trump ne pense qu’à l’argent, Poutine ne pense qu’aux territoires. Mais pour que faire ? Leur peuple est en péril et cette guerre qu’il faut mener n’a rien de commun avec des armes.
La vraie guerre a comme adversaire la nature et, en fait, ni Poutine, ni Trump, ne s’inquiètent de la santé de leur peuple.
Aidons l’Ukraine de toutes nos forces et pas seulement en paroles
Se plaindre, critiquer
Se plaindre, personne ne vous plaindra. Critiquer sans apporter de solution est une infamie. Ainsi va le monde aujourd’hui.
On crie haut et fort que l’on paie trop de charges sociales mais que proposez-vous réellement pour le pallier ? Il y a beaucoup de Français super intelligents mais ils ne proposent rien par crainte d’être critiqués et de mettre leur situation en danger.
En fait, depuis cinquante ans, l’école, la faculté, ne conduisent plus à la réflexion, au constat et encore moins au processus nécessaire pour pallier les difficultés de la vie.
On parle argent, salaire, retraite, investissement, argent facile aussi, mais notre vie, les conditions de vie, les raisons de vivre longtemps, échappent à nos réflexions.
On parle d’euthanasie, on parle de soigner, on parle de réparer les dégâts causés par la vieillesse et par la maladie, on oublie d’éviter les causes et de les neutraliser.
Et pourtant, tout ce que je dénonce peut être évité par le constat, par la régulation, par les techniques à notre disposition. Et elles sont nombreuses.
On voit tout ce qui est le plus grand, le plus lointain mais on ne voit pas l’infiniment petit qui nous dévore. L’invisible est plus important et plus dangereux que des voyages dans l’espace. Notre vie en dépend.
Je crois être en première ligne sur le front de cette guerre qu’il va falloir mener à l’encontre des causes responsables de nos maladies et de la vieillesse.
Ce n’est pas un nouveau territoire qu’il faut gagner ou conquérir, c’est simplement respecter ou faire respecter l’entourage qui pulvérise notre vie. Ce sont les dérives de la nature, les pressions atmosphériques, les flux magnétiques, les radiations solaires, qu’il faut ramener à la raison en les régulant dans un espace déterminé, pendant un temps déterminé, juste celui nécessaire pour recharger les réserves en oxygène de nos cellules.
Nous gagnerons alors la plus grande guerre qui existe pour faire durer notre vie, une vie en pleine forme.
