Tout ce qui peut diviser

L’amour, la convivialité, le besoin d’être ensemble, l’absence de peur, organisée ou pas, sont autant d’éléments qu’il faut conserver et non combattre. Les masques, les dépistages, entraînent la peur et réduisent notre système immunitaire.

C’est ensemble, tout près l’un de l’autre, que nous gagnerons la bataille sur les parasites. C’est tous ensemble que l’on ira nettoyer les plages, en plein soleil. C’est tous ensemble que nous construirons l’avenir de la France. C’est ensemble que l’on détruira tous les nids de frelons, tous les nids de moustiques, tous les nids de guêpes. Ce n’est pas l’un loin de l’autre que l’on avancera pour réduire le coronavirus.

Le risque est si faible qu’empêcher les gens d’être ensemble, de vivre leur vie, ne résoudra pas le problème du virus. Il faut dédramatiser. Le coronavirus, seul, ne tuera plus. La canicule a tué 500 personnes en quelques jours. Le coronavirus, en un mois, n’en a pas tué davantage.

La contagion n’existe plus. Vouloir nous dire chaque jour qu’il y a x milliers de cas n’est pas raisonnable. Ce sont des cas sans conséquence. Bien sûr, on va faire marcher les laboratoires. Je me refuse à accepter des chiffres truqués dans leur réalité et dans leurs conséquences. Le cancer tue chaque jour dix fois plus que le coronavirus et l’on s’y est habitué.

Non, il faut reprendre le travail avec la bonne intention, celle de redresser la France. La France ne pourra plus rien donner si l’on ne lui donne rien.

Mais pour s’assurer qu’il n’y aura pas de retour de la COVID-19, a-t-on fait le nécessaire ou veut-on faire le nécessaire en éradiquant le virus à la source et aux sources ? La contamination, c’est fini, mais ne laissons pas le virus s’endormir : détruisons-le.

Nous avons connu cela pendant la guerre ; la paix était proche mais il y a eu tout de même Oradour-sur-Glane par des ennemis en déroute. Alors, évitons d’avoir de nouveau des Oradour-sur-Glane en tuant les virus partout où il y a des chances de le trouver et spécialement dans tous les lieux réfrigérés à moins de 5 °.

Trop, c’est trop. Le médical a échoué, comme pour les autres maladies, d‘ailleurs. Bien sûr, on utilisera une multitude médicaments pour maintenir tant bien que mal des citoyens en vie, mais dans quelles conditions !!!, avec la peur constante de la mort.

Le médical a détruit notre confiance et avec la collaboration des politiques on a aussi perdu confiance en la politique.

Monsieur le Président, il vous faudra beaucoup de courage mais, de grâce, essayez d’abord ce qui est simple dans le monde économique et dans le monde sanitaire. Les solutions existent. Si vous ne les prenez pas, nous mourrons tous inutilement.

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