Permis de conduire – Permis de vivre

Personne ne souhaite perdre son permis de conduire par perte de ses points ; c’est souvent un drame pour celui qui travaille.

Personne ne doit perdre son permis de vivre en réduisant son système immunitaire à néant au cours des jours, des mois et des années ; c’est un problème vital.

L’oxygène est le sérum de la vie. Peu de maladies, peu de virus ou de bactéries peuvent franchir le barrage d’un système immunitaire au complet.

A chaque fois que l’on franchi la ligne jaune, on peut perdre des points sur son permis de conduire. A chaque fois que l’on franchi la ligne verte de la règle de vie,  de part et d’autre, on perd un pourcentage immunitaire.

A chaque fois que l’on a 40 ° de fièvre, c’est qu’il y a infection quelque part ; le système immunitaire est immédiatement appelé au secours et la bataille commence. Mais quand la maladie disparaît, qu’on est guéri, on oublie de reconstituer le système immunitaire qui a été mis à l’épreuve.

Et c’est ainsi que, petit à petit, jour après jour, année après année, on perd un pourcentage de notre système immunitaire et quand on arrive à 70 ou 80 ans, il n’en reste plus que 10 ou 20 %.

Il en est de même lorsqu’on a des pathologies au cours de la vie, le système immunitaire est mis à l’épreuve.

Il en est de même à chaque fois que nous subissons des variations importantes de pressions atmosphériques qui vont couper la micro circulation sanguine de nos vaisseaux et entraîner la mort des cellules par manque d’oxygène.

Toutes les maladies mettent le système immunitaire en difficulté. Quand on n’a plus de points sur son permis de conduire, on s’empresse d’essayer de récupérer quelques points avant qu’il ne soit supprimé.

Il en est de même pour le système immunitaire : à chaque fois que l’on perd un pourcentage, il faut le récupérer mais, par insouciance, on ne cherche pas à le faire. Aussi faut-il toujours veiller à être sur la ligne verte de la vie. A chaque fois qu’il y a une dérive, qu’elle soit naturelle ou artificielle, il faut redresser le volant et revenir sur la ligne verte.

C’est ainsi que l’oxygène dans le sang doit être au taux de 96 %. Pour la tension artérielle, c’est 14, pour la température, c’est 37.

A chaque fois que l’on franchi les lignes de bataille, le système immunitaire perd des soldats et affaiblit notre défense. Trop d’alcool, trop de tabac, la drogue, entament notre système immunitaire.

Il en est de même pour le cancer, il en est de même pour les maladies cardio-vasculaires : en fait, à chaque fois, c’est un problème de circulation sanguine qui est mise à mal pour de multiples raisons.

Et pour éradiquer la cause de tous ces problèmes, il faut faire le nécessaire, soit d’une manière naturelle, soit d’une manière artificielle, en évitant, à chaque fois, la chimie. Car la chimie arrête un mal, trop souvent pour en produire un autre par effet secondaire.

En un mot : il faut éradiquer la cause. Il faut au moins, et déjà d’une  manière intense et régulière, mettre fin aux causes et protéger l’oxygène qui pénètre notre corps. La pollution n’arrange pas les choses.

Nous savons comment éradiquer ces causes et pourquoi ne le fait-on pas ? Je crois que personne ne comprend ou ne réalise les attaques naturelles des variations de pressions atmosphériques qui se produisent plusieurs fois par mois.

On s’autodétruit. La vie, c’est le seul bien que nous possédions.

Nous devons avoir une hygiène de vie, une hygiène alimentaire, et par miracle, il y a toujours un antidote naturel. Et quand les renforts ne sont pas suffisants, alors il faut régler les problèmes extérieurs par une régulation naturelle.

Ô combien la vie serait plus simple, plus forte, plus longue, si l’on ne négligeait pas la nécessité de reconstituer, tout au long de sa vie et sans cesse, notre système immunitaire.

C’est notre permis de vie.

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