Il nous faut gagner trois mois et sauver 500 vies

En France, il nous faut gagner trois mois en trois jours. Il nous faut reconstituer le climat de l’été avant l’heure.

Ce ne sont pas des hôpitaux qu’il faut construire, ce sont des serres sanitaires qu’il faut construire sur les parkings des hôpitaux.

Nous aurons alors reconstitué un climat d’été dans les serres où actuellement poussent des fraises et des framboises bien mûres. Ces serres, il y en a des milliers en France, des hectares entiers où l’on a devancé l’été

Ces serres sont construites en quelques heures avec des bâches plastiques transparentes.

Les constatations prouvent, que ce soit en Chine, que ce soit dans les pays où c’est l’été, que les personnes atteintes ne sont pas les autochtones.

Je ne dis pas que l’on soignera tout le monde mais si seulement on évitait 500 morts, ce serait parfait. Ces serres peuvent avoir toutes les dimensions que l’on souhaite et, pour les privilégiés qui ont des vérandas : utilisez-les.

Quels sont les risques ? Sanitaires ? Il y aura moins de morts dans les serres que dans les hôpitaux par les maladies nosocomiales, ces maladies qui tuent, chaque année, en France, dans les hôpitaux, plusieurs milliers de patients.

L’hôpital n’a pas que des qualités. On est en guerre. Il faut utiliser les moyens de campagne quitte à réquisitionner les serres existantes. Mais la solution idéale, c’est de les construire sur les parvis des hôpitaux, à la portée de tous les matériels actuels des hôpitaux.

Reconstituer les conditions de vie normales qui nous protègent. Il en est de même pour les cancers et pour la grippe.

Ce qu’il y a de plus grave, c’est que nous savons le faire. Il y a des même des molécules fabriquées en Bretagne à partir de vers marins, qui fixent l’oxygène dans les parois pulmonaires (Cf. Hemarina). Qu’attend-on pour les utiliser ?

Il y a des règles dans la pharmacie, dans le médical, mais en tant de guerre, réduisons-les au maximum. Arrêtons de traîner les pieds. Faisons circuler ce qui est possible et efficace. N’engorgeons pas les hôpitaux.

Tout ce que je vous propose peut se faire chez soi, dans son jardin, dans sa véranda. Utilisons tout ce que nous possédons pour combattre l’ennemi.

Certes, il y a des infections qui sont déjà déclarées mais sans le coronavirus, on sait comment faire pour les éradiquer. On le fait bien pour des bronchites et les pneumonies. Pourquoi ne pas essayer ? C’est vraiment peu cher.

Tous ces petits moyens seront plus efficaces que les médicaments chimiques que les laboratoires n’ont pas su préparer.

En fait, la faute, s’il y en a, c’est de ne pas avoir prévu l’imprévu. Il faudra tout de même rendre des comptes un jour pour ne pas avoir conservé les masques nécessaires en suffisance  et, aux laboratoires, de ne pas avoir préparé ce qu’ils savaient déjà.

Mais l’heure n’est pas à la polémique. L’heure est de protéger et de se protéger. Et si, aujourd’hui, on ne se protège pas rapidement, alors, c’est l’économie mondiale qui aura le coronavirus.

Déjà, cette année, en France, il n’y aura plus de taux de croissance. On va perdre 10 % de PIB. L’addition sera lourde, comme après toutes les guerres.

Mais ceux qui nous gouvernent aujourd’hui n’ont jamais connu la guerre. Moi, je me souviens qu’après la guerre de 39, ceux qui avaient 1 000 francs, n’ont pu récupérer que 100 francs avec les nouveaux francs, et encore, dans certaines limites.

Aujourd’hui, on n’a pas de restriction, on n’a pas de tickets, on mange à sa faim, on oublie qu’après la guerre on recevait des oranges à Noël et l’on était content. La guerre n’a pas d’âge, elle produit toujours les mêmes effets et il faut les avoir vécus pour savoir. Il faut l’avoir vécu pour prévoir. Et l’on voit aujourd’hui que l’imprévu n’a pas été prévu.

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