Lettre d’un homme âgé à Monsieur François-Xavier Bellamy à propos de sa vision de l’immigration

Non, Monsieur François-Xavier Bellamy, l’immigration n’est pas devant nous, elle est derrière nous, pour des raisons vitales. Je suis un homme âgé, et pourtant, il me semble que dans votre propos vous n’avez pas de vision d’avenir.

Monsieur François-Xavier Bellamy, il est de notre devoir de lutter contre les raisons qui poussent les hommes à migrer, pas contre les migrants eux-mêmes

Il faut aider la population sur place pour la fixer…

Je vous ai entendu, l’autre jour, à la télévision. Vous devez arrêter de parler d’immigration : c’est du passé pour une raison simple. Nous allons, et vous j’espère également, faire en sorte qu’il y ait suffisamment de travail en plus dans les pays d’Afrique pour qu’il n’y ait plus ni immigration, ni misère sur place.

En effet, la bonne idée que vous devez défendre, c’est de créer sur place le travail nécessaire pour que la population ne puisse avoir de prétexte à quitter sa région pour raison économique. C’est ce que je fais en proposant la construction de 10 “pare-feu” en cultures et forêts, de 2 000 km sur 100 km, tout autour du Sahara. C’est une question vitale pour nous tout autant que pour les Africains.

La seule solution pour empêcher le réchauffement climatique. Pour cela il faut en supprimer une des causes principales : la plaque chauffante que constituent les déserts qui avancent inexorablement aujourd’hui. Voilà l’idée majeure qu’il faut développer si l’on veut survivre dans ces pays et éviter la surchauffe en Europe.

… et faire de même pour l’eau

Il faut aussi se souvenir que l’eau appelle l’eau ; dans une région que l’on rendra plus humide, il pleuvra.

Certes, la création de ces pare-feu nécessite de l’eau mais le Sahara n’en manque pas dans son sous-sol et ses immenses nappes phréatiques se renouvelleront, dès lors, sans cesse de façon naturelle.

Pour ce faire, monsieur François-Xavier Bellamy, il faudra des millions d’autochtones, paysans ou simples citoyens de ces pays, qui auront du travail, beaucoup de travail. La misère sera éradiquée et ces pays deviendront des pays économiquement reconnus comme l’Europe. Et nous aurons gagné la bataille du réchauffement climatique.

En disant que l’immigration est devant nous, vous amorcez le refus de faire le nécessaire pour notre survie.

Ne pas aider ces pays par la fourniture du matériel et éventuellement de techniciens, ingénieurs agronomes ou autres, pour créer ces oasis, est néfaste à l’avenir du monde entier.

Si immigration il y a encore, elle proviendra davantage de Chine que d’Afrique ; elle pourrait entrer en récession si l’Europe supprime toutes les charges patronales et salariales.

Aussi curieux que cela paraisse, cette décision entraînera aussi un problème pour les Etats-Unis. Supprimer les charges, c’est 22% de pouvoir d’achat supplémentaires et pour cela, il faut assurer le financement de la Sécurité sociale par l’Etat, c’est-à-dire par tous.

L’immigration est derrière nous. C’est la volonté du Président MACRON.

Le cheval de bataille du Front National sera à terre. Il faudra par conséquent, qu’il trouve d’autres idées.

Oui, c’est cela qui est visionnaire, pour l’Europe et pour la France, pas de lutter contre des chimères…

Monsieur BELLAMY, obtenez que la France supprime tous les monopoles qu’ils soient d’Etat ou privés. Le prix de l’énergie sera dès lors supprimé par 2 et l’hydrogène produite par l’électricité sera super compétitive. Nous pourrons alors demandé que l’hydrogène soit le carburant pour les voitures mais aussi pour le chauffage et les usines.

Développer l’Afrique c’est aussi développer l’Europe car cela constituera un marché fabuleux. Et il n’y aura pas d’Afrique sans l’Europe et pas d’Europe sans l’Afrique.

Voilà une idée que vous devez développer pour les élections européennes. Bon courage, Monsieur BELLAMY.

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